Portrait par Caroline Fabre
Patrick Zonens
Sa nouvelle pièce : «Mon coloc à terre»
«La Chouette, hibou d'impatience de l'embrasser» mise en scène par Bernard Menez, « La Bi ne fait pas le moine » mise en scène par Bruno Bastard, «Ma cave à lierre» mise en scène par et avec Richard Taxy et aujourd'hui, «Mon coloc à terre» à l'affiche du Théo Théâtre.
Tous ces titres de pîèces dénoncent un fort penchant pour les calembours que l'on retrouve en nombre dans leurs textes. Pourtant, leur auteur, Patrick Zonens, exerçait un métier on ne peut plus sérieux puisqu'il était pharmacien !
Comment devient-on auteur quand on est pharmacien ?
Je suis tombé dans la marmite à calembours dès ma tendre jeunesse grâce à mon père. J'ai vu les pièces de Francis Blanche qui est devenu mon maître à penser. Mais j'ai fait des études sérieuses et, en exerçant mon métier, j'ai pris l'habitude de soulager les maux... avec les mots. Ce sont ces bons mots dont je me suis servi pour écrire une pièce puis d'autres. Pour les monter, j'ai créé une compagnie « La 8ème compagnie »... puisque, bien sûr, on n'a jamais retrouvé la 7ème !
Que raconte « Mon coloc à terre » ?
Bérénice cherche un colocataire. La première personne à se présenter étant une mère envahisssante, Bérénice modifie son annonce «cherche colocataire... et plus si affinités». Là, elle va avoir de nombreuses surprises que pourront partager avec elle les spectateurs, mais je ne veux pas les déflorer. Parlons cependant de l'intrusion d'un moine bègue qui s'est trompé d'étage comme d'un séducteur un peu gauche. Attendez-vous alors à autant de rebondisssemnts que de coups de théâtre... et de rires.. renforcés, bien entendu, par des jeux de mots à foison. Et comme, depuis deux ans, grâce à Stéphane de Grootd, le jeu de mots reprend des couleurs, j'espère que le public répondra présent !
Comment devient-on auteur quand on est pharmacien ?
Je suis tombé dans la marmite à calembours dès ma tendre jeunesse grâce à mon père. J'ai vu les pièces de Francis Blanche qui est devenu mon maître à penser. Mais j'ai fait des études sérieuses et, en exerçant mon métier, j'ai pris l'habitude de soulager les maux... avec les mots. Ce sont ces bons mots dont je me suis servi pour écrire une pièce puis d'autres. Pour les monter, j'ai créé une compagnie « La 8ème compagnie »... puisque, bien sûr, on n'a jamais retrouvé la 7ème !
Que raconte « Mon coloc à terre » ?
Bérénice cherche un colocataire. La première personne à se présenter étant une mère envahisssante, Bérénice modifie son annonce «cherche colocataire... et plus si affinités». Là, elle va avoir de nombreuses surprises que pourront partager avec elle les spectateurs, mais je ne veux pas les déflorer. Parlons cependant de l'intrusion d'un moine bègue qui s'est trompé d'étage comme d'un séducteur un peu gauche. Attendez-vous alors à autant de rebondisssemnts que de coups de théâtre... et de rires.. renforcés, bien entendu, par des jeux de mots à foison. Et comme, depuis deux ans, grâce à Stéphane de Grootd, le jeu de mots reprend des couleurs, j'espère que le public répondra présent !
Paru le 25/11/2014
(15 notes) THEO THEATRE Du samedi 11 octobre au dimanche 21 décembre 2014
COMÉDIE. Fraichement célibataire, Bérénice décide de passer une petite annonce afin de trouver un colocataire, avec qui partager son loyer, et pourquoi pas un peu plus… C’est alors que se présente Gaétan, un séducteur un peu gauche. Mais lorsque Mathilde sa mère fait irruption chez elle, rien ne va se pass...
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