(moyenne sur 3 notes)

RÉCITAL avec David Fray (piano).

De Mozart à Beethoven, c’est un jeu de miroirs que propose ici David Fray: quel pianiste peut résister à la tentation de tracer des parallèles entre ces deux compositeurs, parfois si proches mais souvent aussi si différents ? Chez Mozart, la noirceur de la sonate en la mineur K 310, portée par un élan dramatique, peut cacher la plénitude de la 311, l’une de ses pages les plus solaires pour le clavier. Chez Beethoven, les vagabondages champêtres de la sonate «Pastorale» ouvrent la nouvelle voie qui conduit à la grandiose sonate «Waldstein», l’un des sommets de son œuvre, à la portée uniquement d’un vrai virtuose. • Mozart: - Sonate en ré majeur K.311 • Beethoven: - Sonate n°15 en ré majeur opus 28 «Pastorale» • Mozart: - Fantaisie en ut mineur K.475 • Beethoven: - Sonate n°21 en ut majeur opus 53 «Waldstein»