TRAIN DE PLUIE
(moyenne sur 2 notes)
COMÉDIE DRAMATIQUE à partir de "La pluie" de Daniel Keene (traduction Séverine Magois) et "En ce temps-là l'amour" de Gilles Segal. Mise en scène de Catherine Hubeau et Marie-Laure Speri, avec Catherine Hubeau et Tommaso Simioni, et en alternance Stéphane Guiocheau et Marc Desjardins violoniste.
Une femme raconte à un homme comment les gens, par centaines, avant de prendre le train, lui confiaient leurs affaires. Ces gens ne sont jamais revenus, mais elle est restée, avec toutes ces choses dont elle ne sait que faire, elle a tout recueilli chez elle dans sa maison transformée en musée. L'homme, lui, était dans le wagon qui les emmenait vers les camps. Il y a rencontré un père et son fils de 12 ans; il dit l’extraordinaire volonté chez ce père de profiter de chaque instant pour transmettre à son fils l’essentiel de ce qui saurait faire de lui un homme.
12, rue Edouard Lockroy
75011 PARIS
M° Parmentier
Tél: 01 47 00 43 55
Web: www.theatreduroireneparis.fr
> Plan d'accès (Google Maps)
> Plan du métro (RATP)
75011 PARIS
M° Parmentier
Tél: 01 47 00 43 55
Web: www.theatreduroireneparis.fr
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> Plan du métro (RATP)
Le spectacle s'est joué dans ce lieu du 18/10/2011 au 12/01/2012.
CONDITIONS GRAND PUBLIC
Jusqu'au 12/1: Mardi et Jeudi à 19h00. Places à 17€. Durée 1h10.
CONDITIONS ADHÉRENTS
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Derniers commentaires des adhérents
Patrick R. a écrit le 04/01/2012 à 01h50
Note =
La pièce est très émouvante grâce à l'interprétation sans faille des deux comédiens. C'est une bonne idée d'avoir fait se rencontrer deux textes afin de former cette pièce. En plus, la taille de la salle permet une représentation plus intimiste.
Isabelle K. a écrit le 31/10/2011 à 12h42
Note =
Bon spectacle que ce témoignage émouvant sur ces familles qui sont parties pour les camps et ne sont jamais revenues. La partition à deux voix entre la femme qui a collecté les affaires dans l'espoir de pouvoir les rendre un jour et l'homme qui en a réchappé, elle toute en demi-teintes, lui plus dramatique, se conjuguent en une musique à laquelle on se laisse prendre, le tout ponctué de temps à autre par la plainte du violon. A voir.