Photo: D.R.
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CAUBÈRE JOUE BENEDETTO - Urgent crier!
(moyenne sur 5 notes)
TEXTE(S) d'André Benedetto, lus par Philippe Caubère.
Armé parfois d'un micro, accompagné par un guitariste, électrique ou andalou selon le moment, de visions photographiques de Benedetto et de ses fantômes, mais désarmé la plupart du temps, c'est-à-dire à scène et à voix nues, Philippe Caubère incarne le poète, l'acteur, le démiurge. Trois textes, l'un sur Vilar et le Festival d'Avignon, un autre sur Artaud et Marseille, un Magnificat enfin pour Gilles Sandier, seront comme enchâssés dans la poésie révolutionnaire des années 60. Les Poubelles du vent chantent -et raillent- les beatniks, 68 et le Festival, dans les yeux duquel déjà, le 31 juillet 68, Benedetto plonge son regard de braise et "voit" tout: "au festival je n'ai pas vu le peuple, je n'ai vu que des flics". Flamboyant, polémique et rock and roll.
157, rue Saint Martin
Passage Molière
75003 PARIS
M° Rambuteau
Tél: 01 44 54 53 00
Web: www.maisondelapoesieparis.com
> Plan d'accès (Google Maps)
> Plan du métro (RATP)
Passage Molière
75003 PARIS
M° Rambuteau
Tél: 01 44 54 53 00
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Le spectacle s'est joué dans ce lieu du 04/11/2011 au 31/12/2011.
CONDITIONS GRAND PUBLIC
Du 4/11 au 31/12: du Mercredi au Samedi à 20h00 et Dimanche à 16h00. Places de 20 à 10€. Durée 1h40.
CONDITIONS ADHÉRENTS
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Derniers commentaires des adhérents
Françoise B. a écrit le 02/01/2012 à 12h37
Note =
Je ne connaissais pas Benedetto, j'y allais pour Philippe Caubère qui, plus sobre qu'à son ordinaire, donne une lecture vivante et chaleureuse de ces beaux textes.
Comment ne pas être émue et nostalgique à l'évocation
de Jean Vilar et des grandes heures d'Avignon !
Comment ne pas être émue et nostalgique à l'évocation
de Jean Vilar et des grandes heures d'Avignon !
Denise B. a écrit le 19/12/2011 à 08h16
Note =
j ai passe un dimanche apres midi magnifique Caubere se glisse dans la peau de Benedetto avec une rare intensite je connaissais Benedetto l ayant vu a Avignon ce fut un vrai plaisir de le retrouver
Claude B. a écrit le 16/12/2011 à 10h32
Note =
Caubère on t'aime ! On t'attend pour la suite de tes aventures. Cette espérance est de nature à contrecarrer cette grisaille délibérément entretenue.
Michel P. a écrit le 11/12/2011 à 19h05
Note =
Un bel hommage à André Benedetto, qui fut (entre autres activités) le fondateur du festival Off d'Avignon. Le texte sur Vilar est magnifique et inspiré, celui sur Artaud... ardu. Les parties musicales n'apportent strictement rien, même si Caubère montre qu'il n'est pas qu'un diseur hors pair mais également un fort bon chanteur.
Claudine L. a écrit le 20/11/2011 à 21h01
Note =
Quand Caubère redonne souffle à la poésie de Benedetto, c'est à la culture méditerranéenne et à ses acteurs et poêtes qu'il rend hommage. Caubère est magnifique dans son dénuement d'acteur, et si la beat generation est aux anges, les nouvelles génération sont dans la salle en nombre pour voir ce phénomène qui est une troupe à lui tout seul !
