Beaucoup de critiques sévères, non justifiées je crois. Peut-être que le public attendait une Isabelle Adjani plus tiraillée, plus intense.
Les scènes à la terrasse de café avec son amie, la rendent accessible et commune, et la desservent. Mais son talent n'est aucunement enjeu, au contraire. J'ai découvert le très talentueux Niels Schneider, mais Vittoria Scognamiglio, vole la vedette aux deux. La mise en scène épurée, laissait toute latitude aux projections et éclairages de nous faire naviguer de scène en scène.

Une bonne pièce parmi d'autres, sans plus. Dommage que Carmen Maura ait quitté le navire avant la création. Mention spéciale pour Niels Schneider. La coqueluche de Xavier Dolan est devenu adulte - on l'avait déjà deviné dans "Roméo et Juliette" récemment - et son jeu est excellent. Ce garçon est assurément promis à un grand avenir !

Pièce sans aucun intérêt c'est un fourre tout de théâtre classique , de théâtre No , de comédie de boulevard ! bon , il y a I Adjani et un fan club prête à applaudir à chaque réplique.....Spectacle , en outre, ponctué par les nombreuses quintes de toux des spectateurs!Que voulez vous c'est l'hiver!
Vous pouvez aisément faire l'impasse sur cette pièce à moins que vous ne soyez inconditionnels d'I Adjani , qui reste la comédienne de talent que l'on aime et qui a grand mérite à servir un texte si pauvre!

MOYEN

Starter ayant proposé un tarif exceptionnel, j'y suis allé par curiosité plus que par envie, en ayant néanmoins en tête certaines critiques assassines. Nous avons été fort bien placés, donc merci à Starter. Pour ce qui est de la pièce, pas de quoi fouetter un chat ni de plaisir, ni de révulsion. texte et jeu sans passion, ni émotion; on ne croit pas un instant à la relation Adjani-Schneider, mais ils jouent bien tous les 2; la mère du garçon est excellente; une mise en espace réussie, même si je n'ai rien compris aux insertions raciniennes aussi bien en voix off qu'en théâtre Nô. Au final une soirée tout à fait digeste, pas désagréable et qui ne bouleversera pas ma vision du théâtre. Remarque : l'hystérie était plutôt dans la salle avec certains spectateurs qui applaudiraient frénétiquement même si Adjani lisait le bottin.