HAINE DES FEMMES





COMÉDIE DRAMATIQUE d’après Laissées pour mortes de Nadia Kaci, mise en scène de Mounya Boudiaf, avec Mounya Boudiaf et Christophe Carassou.
Hassi Messaoud est une cité pétrolière du Sahara algérien, site de sociétés étrangères, que rejoignent chaque jour des femmes de condition modeste, le plus souvent seules, pour y travailler comme cuisinières, femmes de ménage, secrétaires. La nuit du 13 juillet 2001, une centaine d’entre elles est sauvagement agressée par près de 500 hommes, enflammés par le prêche virulent de l’Imam de la mosquée locale. Armés, ces hommes ordinaires frappent, mutilent, torturent, violent, une nuit entière.










94, rue Jean-Pierre Timbaud
75011 PARIS
M° Parmentier/Couronnes
Tél: 01 47 00 25 20
Web: www.maisondesmetallos.org
> Plan d'accès (Google Maps)
> Plan du métro (RATP)
75011 PARIS
M° Parmentier/Couronnes
Tél: 01 47 00 25 20
Web: www.maisondesmetallos.org
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Le spectacle s'est joué dans ce lieu du 08/01/2015 au 18/01/2015.
CONDITIONS GRAND PUBLIC
Jusqu'au 18/1: du Mardi au Vendredi à 20h00, le Samedi à 19h00, le Dimanche à 16h00. Places à 14€. Durée 1h30.
CONDITIONS ADHÉRENTS
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Derniers commentaires des adhérents
Agnès L. a écrit le 01/03/2015 à 18h25
Note =





Brulant, percutant, douloureux mais il faut entendre tout cela.
Esther R. a écrit le 14/02/2015 à 14h31






J'ai adoré
Joëlle D. a écrit le 29/01/2015 à 11h56






excellents comediens ! theme difficile, j aurais aile une lise en scene plus vivante
Cypris_92 a écrit le 20/01/2015 à 15h30






Témoignage bouleversant.
J'ai été un peu gênée par le fait que l'homme joue plein de petits rôles mais aussi celui d'une deuxième victime de cette sauvagerie. J'aurais préféré que les deux femmes soient interprétées par deux actrices et que l'homme se limite aux personnages périphériques.
J'ai été un peu gênée par le fait que l'homme joue plein de petits rôles mais aussi celui d'une deuxième victime de cette sauvagerie. J'aurais préféré que les deux femmes soient interprétées par deux actrices et que l'homme se limite aux personnages périphériques.
Michèle M. a écrit le 18/01/2015 à 22h13






Poignant, bien interprété. Un sujet difficile qu'il fallait avoir le cran de présenter; il fallait y aller au moins pour saluer ce courage.