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2666
(moyenne sur 2 notes)

COMÉDIE DRAMATIQUE de Roberto Bolaño, adaptation et mise en scène de Julien Gosselin, avec Rémi Alexandre, Guillaume Bachelé, Adama Diop, Joseph Drouet, Denis Eyriey, Antoine Ferron, Noémie Gantier, Carine Goron, Alexandre Lecroc, Frédéric Leidgens, Caroline Mounier, Victoria Quesnel et Tiphaine Raffier. 11h30 dont 3h d'entracte (en intégrale les week-end ou en deux soirées consécutives de 4h35 et 5h30 les mercredis et jeudis).
Après Les Particules élémentaires, de Michel Houellebecq, Julien Gosselin et sa compagnie attaquent un chantier peut-être encore plus fou : adapter l’enquête vertigineuse sur l’écriture et le mal qu’est le chef-d’œuvre du Chilien Roberto Bolaño. Dès sa parution posthume en 2004, 2666 a été salué par la critique internationale comme l’un des grands textes du début du XXIe siècle.
LES ATELIERS BERTHIER
8 Boulevard Berthier
75017 PARIS
M° Porte de Clichy
Tél: 01 44 85 40 40
Web: www.theatre-odeon.eu/fr

 > Plan d'accès (Google Maps)
 > Plan du métro (RATP)
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Le spectacle s'est joué dans ce lieu du 10/09/2016 au 16/10/2016.
CONDITIONS GRAND PUBLIC
Du 10/9 au 16/10: Prix des places non connus à ce jour. Durée 11h30.

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Derniers commentaires des adhérents
mishkah a écrit le 10/10/2016 à 15h23

  Note =
Je rejoins en grande partie le commentaire laissé par Michèle....
Embarquée d'emblée par le jeu et la mise en scène dans la 1e partie, mon enthousiasme s'est progressivement dégonflé face à l'overdose de vidéos alternées par de la techno assourdissante.... et l'évaporation progressive des comédiens et du jeu scénique.
Le recensement jusqu'à la nausée des victimes et des sévices endurés par chacune d'elles, a eu raison de ma patience.... et, je me suis enfuie (à l'instar du 1/3 des spectateurs) 2h30 avant la fin de ce marathon théâtral....
Pas sûre du tout que ce choix de mise en scène contemporaine ultra high-tech (à coup de videos et de décibels à se faire des nœuds dans la tête).... soit forcément du goût des trentenaires (en bonne majorité dans la salle) car bon nombre d'entre eux en sont sortis dépités (et shootés) exprimant un sentiment de frustration et notamment celui d'avoir été (un peu) pris en otage...
L'utilisation des nouvelles technologies doit toujours être dramaturgiquement fondée si on ne veut pas en rester aux effets spéciaux et à la stimulation sensorielle prise comme une fin en soi.
Cependant, toutes les critiques (de journalistes) sur le travail de Gosselin sont (sans exception!) dithyrambiques... !!???
Michèle M. a écrit le 09/10/2016 à 08h25

  Note =
J'ai assisté à la représentation dans son intégralité samedi. Avant tout,je n'ai pas tellement apprécié l'usage à outrance des retransmissions vidéo sur grand écran quand les acteurs jouent dans un coin de la scène. C'est une mode pour un (jeune ) public assoiffé d'images, et ce n'est pas du théâtre !
La musique est très présente, forte, beaucoup trop forte. On est en train de fabriquer des générations porteuses de lunettes et d'appareils auditifs.
Les scènes jouées devant le public sont de très bonne qualité, bien interprétées par cette troupe.
Certaines parties sont très longues et n'apportent pas grand chose finalement. Néanmoins on reste captivé jusqu'au bout, malgré la fatigue.
La première partie, enquête menée sur un écrivain, est la plus captivante. Ensuite on est pris par une histoire de violence, de corruption et de crimes, jusqu'au dégoût.
La dernière partie laisse bien une impression d'oeuvre inachevée.
Je n'ai pas regretté d'avoir fait cette expérience, mais j'avais trouvé la mise en scène des "particules élémentaires" plus inspirée.