Photo: D.R.
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FOURBERIES DE SCAPIN (LES)
(moyenne sur 9 notes)
COMÉDIE, un texte de Molière, une mise en scène de Tigran Mekhitarian, avec Isabelle Andrzejewsk, Alexia Hebrard, Charlotte Levy, Sébastien Gorski, Tigran Mekhitarian, Etienne Paliniewicz, Théo Navarro-Mussy, Samuel Yagoubi, Louka Meliava et Théo Askolovitch.
Dans une ambiance rap, ghetto et jeune, mélangeant la langue classique de Molière avec la langue contemporaine de la jeunesse de notre époque, une version généreuse et déjantée du chef d’œuvre de Molière, dessinée dans le respect du texte et portée par de tout jeunes acteurs, dans une modernité qui donne tout son sens à la pièce.
30, rue du Chevaleret
75013 PARIS
M° Bibliothèque F. Mitterrand / RER C
Tél: 01 45 88 62 22
Web: www.theatre13.com
> Plan d'accès (Google Maps)
> Plan du métro (RATP)
75013 PARIS
M° Bibliothèque F. Mitterrand / RER C
Tél: 01 45 88 62 22
Web: www.theatre13.com
> Plan d'accès (Google Maps)
> Plan du métro (RATP)
Le spectacle s'est joué dans ce lieu du 12/03/2019 au 14/04/2019.
CONDITIONS GRAND PUBLIC
Durée 1h45.
CONDITIONS ADHÉRENTS
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Derniers commentaires des adhérents
Roland a écrit le 13/04/2019 à 20h54
Note =
Mise en scène originale et contemporaine d'un classique de Molière. Très belle énergie de la part de comédiens talentueux. Une belle surprise.
Joëlle V. a écrit le 05/04/2019 à 11h15
Note =
Au départ on est surpris de découvrir une telle mise en scène loin des normes classiques du théâtre de Molière. Au fur et à mesure on se laisse séduire par cette adaptation moderne. Belle énergie des comédiens qui nous font passer une bien agréable soirée drôle et déjantée.
Marc D. a écrit le 01/04/2019 à 10h24
Note =
Version revisitée et contemporaine des fourberies de Scapin. Belle mise en scène. Bravo à tous les acteurs.
Marie D. a écrit le 25/03/2019 à 20h55
Note =
Une troupe très dynamique, un texte bien servi et un parti pris de mise en scène plutôt intéressant. Des Fourberies de Scapin dans une version très originale !
HELENE BLANC a écrit le 23/03/2019 à 10h04
Note =
Piece a découvrir loin des circuits bien policés du Français.
La rue du Chevaleret est déjà tout un programme, enterrée derrière le quartier de la Grande Bibliothèque construit en surélévation au-dessus des rails de la gare d'Austerlitz.
Une salle confortable fréquentée exclusivement par des moins de 30 ans.
Ça change de nos théâtres habituels.
Et une mise en scène bourrée d'énergie où le texte de Molière est respecté mais sans la classique scansion des vers.
Et du coup la pièce prend une étrange actualité
Les fils en sont les héros avec leur envie de vivre et d'épouser qui ils veulent face à des pères (des vieillards de 40 ans .....) accrochés à leur argent et leur droit paternel de disposer de la vie de leur progéniture.
Une lecture intéressante et bourrée de vie.
Et une relecture de la fin où Scapin n'est pas porté en bout de table dans la complicité de fils reconnaissants et de pères qui pardonnent, mais abandonné au milieu de la scène une fois que les fils se sont réconciliés avec leurs pères en épousant ( la morale est sauve) des filles de bonne famille.
A découvrir
La rue du Chevaleret est déjà tout un programme, enterrée derrière le quartier de la Grande Bibliothèque construit en surélévation au-dessus des rails de la gare d'Austerlitz.
Une salle confortable fréquentée exclusivement par des moins de 30 ans.
Ça change de nos théâtres habituels.
Et une mise en scène bourrée d'énergie où le texte de Molière est respecté mais sans la classique scansion des vers.
Et du coup la pièce prend une étrange actualité
Les fils en sont les héros avec leur envie de vivre et d'épouser qui ils veulent face à des pères (des vieillards de 40 ans .....) accrochés à leur argent et leur droit paternel de disposer de la vie de leur progéniture.
Une lecture intéressante et bourrée de vie.
Et une relecture de la fin où Scapin n'est pas porté en bout de table dans la complicité de fils reconnaissants et de pères qui pardonnent, mais abandonné au milieu de la scène une fois que les fils se sont réconciliés avec leurs pères en épousant ( la morale est sauve) des filles de bonne famille.
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