Photo: D.R.
CE QU’IL FAUT DIRE
(moyenne sur 3 notes)
THÉÂTRE CONTEMPORAIN de Léonora Miano, mise en scène de Catherine Vrignaud Cohen, avec Catherine Vrignaud cohen.
Comment fraterniser dans un pays où les héros des uns sont les bourreaux des autres ?" Que signifie être "blanc" ou "noir" ? Qui a décidé que "l'Afrique" se nommerait ainsi ? Ce qu'il faut dire est une prise de parole directe pour aller au fond des choses : la relation entre l'Occident et l'Afrique, la relation à sa couleur de peau, la relation à l'autre. Entre théâtre et concert, entre intime et politique, ce spectacle percutant est un chant, une célébration de la relation humaine loin de toute forme de domination.
2 bis Passage Ruelle
75018 PARIS
M° La Chapelle
Tél: 01 40 05 06 96
Web: www.reineblanche.com
> Plan d'accès (Google Maps)
> Plan du métro (RATP)
75018 PARIS
M° La Chapelle
Tél: 01 40 05 06 96
Web: www.reineblanche.com
> Plan d'accès (Google Maps)
> Plan du métro (RATP)
Le spectacle s'est joué dans ce lieu du 21/02/2024 au 10/03/2024.
CONDITIONS GRAND PUBLIC
Durée 1h30.
CONDITIONS ADHÉRENTS
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Derniers commentaires des adhérents
Dominique A. a écrit le 22/02/2024 à 17h15
Note =
Dans la première partie de ce spectacle coup-de poing, Karine Pedurand tient son public par sa présence charismatique. Sa diction est envoutante. Ensuite, le discours se fait plus politique, dérangeant dans sa radicalité.
Brigitte S. a écrit le 22/02/2024 à 13h22
Note =
Constat acéré
On dit que toute vérité n'est pas bonne à dire et il faut reconnaître que ce texte, fort bien interprété par Karine Pedurand, par son militantisme acéré peut se révéler fort lourd. Oui, il ne faut pas se dissimuler derrière une amnésie confortable et et anesthésiante mais plus de modération n'aurait pas nuit à la pertinence du propos. De plus l'analyse n'a pas évoqué les abus, les souffrances et les discriminations subies par "les provinces asiatiques" car, hélas!, l'ostracisme n'a pas de frontières.
On dit que toute vérité n'est pas bonne à dire et il faut reconnaître que ce texte, fort bien interprété par Karine Pedurand, par son militantisme acéré peut se révéler fort lourd. Oui, il ne faut pas se dissimuler derrière une amnésie confortable et et anesthésiante mais plus de modération n'aurait pas nuit à la pertinence du propos. De plus l'analyse n'a pas évoqué les abus, les souffrances et les discriminations subies par "les provinces asiatiques" car, hélas!, l'ostracisme n'a pas de frontières.
Clara M. a écrit le 22/02/2024 à 00h18
Note =
Critique virulente de la domination coloniale blanche occidentale ... Le texte de Léonora Miano et, partant, le spectacle est assurément "radical" et militant !
L'interprétation acérée de Karine Pedurant claque, à peine adoucie par la musique ... Et après la violente lutte dominants/dominés, le rêve enfin de fraternité !?!?
L'interprétation acérée de Karine Pedurant claque, à peine adoucie par la musique ... Et après la violente lutte dominants/dominés, le rêve enfin de fraternité !?!?
