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Photo: D.R.


POINGS
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COMÉDIE DRAMATIQUE mise en scène par Céleste Germe, avec Maëlys Ricordeau et Antoine Oppenheim.
Pour la seconde fois, Das Plateau met en scène la dramaturge Pauline Peyrade. Émouvant récit d’un amour toxique, Poings aborde la question de la violence au sein du couple et montre la puissance de la résilience : comment l'histoire d'une emprise et d'une domination peut se jouer à l’abri des regards, sans témoin, au cœur de soi. Un homme et une femme se rencontrent dans une rave party. À partir de ce début de romance, progressent peu à peu les mécanismes implacables de violences conjugales, du viol jusqu’à la fuite. Par un jeu de reflets et l’usage de la vidéo, le spectacle s’immisce à l’intérieur du couple, dans le huis clos d’une relation.
MONFORT THÉÂTRE
106, rue Brancion
75015 PARIS
M° Porte de Vanves / T3 Brancion
Tél: 01 56 08 33 88
Web: www.lemonfort.fr

 > Plan d'accès (Google Maps)
 > Plan du métro (RATP)
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Le spectacle s'est joué dans ce lieu du 26/04/2024 au 04/05/2024.
CONDITIONS GRAND PUBLIC
Durée 1h15.

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Derniers commentaires des adhérents
Oana C. a écrit le 05/05/2024 à 14h41

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Tout en lignes de fuite lancées vers les quatre points cardinaux avant d'aspirer à leur rencontre en un point unique, la perspective rejoint un carrefour de miroirs où chacun repart de son côté. Depuis le viol inconcevable au milieu d'une piste de danse, au fracas d'une chute silencieuse défiant le cri de la nuit, du ciel noir au lac sombre et du lit défait à la ville salvatrice, Pauline Peyrade vit au coeur d'une soumission annoncée sans pitié pour toutes celles qui se perdent de l'autre côté de l'amour. Céleste Germe empoigne son récit autobiographique à travers un polyptique hallucinant autour d'un dispositif optique kaléidoscopique où l'être fragile et fragmenté se diffracte et se réfracte indéfiniment au bruit d'une cascade de bris de verre perçant la pensée incapable de soumettre le corps, captif dans les méandres destructrices d'un non-amour manquant de poésie. Ça finit comme ça commence, ça commence comme ça finit : il n'y a que violence. Juste changer de nuit avant qu'elle ne s'achève.