UN FAUNE AU CRÉPUSCULE
(moyenne sur 16 notes)
À partir de 12 ans
COMÉDIE DRAMATIQUE de et mis en scène par Marc Delaruelle, avec Claude Mailhon et Patrice Ricci.
1828, fin de soirée. Céleste Chateaubriand attend son mari qui passe la soirée elle ne sait avec qui. Lasse de son infidélité, elle veut lui annoncer qu’elle va quitter le domicile conjugal. Celui-ci rentre enfin. Lui aussi à une nouvelle d’importance. S’ensuit un huis clos où le couple passe la nuit à régler ses comptes. Bilan conjugal qui évolue du drame au burlesque jusqu’à une fin inattendue.
78 bis, bd des Batignolles
75017 PARIS
M° Rome / Villiers
Tél: 01 42 93 13 04
Web: www.studiohebertot.com
> Plan d'accès (Google Maps)
> Plan du métro (RATP)
75017 PARIS
M° Rome / Villiers
Tél: 01 42 93 13 04
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Le spectacle s'est joué dans ce lieu du 03/09/2024 au 30/10/2024.
CONDITIONS GRAND PUBLIC
Durée 1h15.
CONDITIONS ADHÉRENTS
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Derniers commentaires des adhérents
Muriel W. a écrit le 11/12/2024 à 09h22
Note =
Sujet interessant mais on tourne en rond
La representation que j ai vu le comedien a oublié son texte et s'est fait soufflé son texte par sa partenaire!
Ca peut arriver mais comme on tourne en rond dans le sujet ça aide pas a l'appréciation du sujet...
La representation que j ai vu le comedien a oublié son texte et s'est fait soufflé son texte par sa partenaire!
Ca peut arriver mais comme on tourne en rond dans le sujet ça aide pas a l'appréciation du sujet...
Brigitte K. a écrit le 07/11/2024 à 08h46
Note =
tres bonne piece bien jouee
Brigitte S. a écrit le 01/11/2024 à 10h44
Note =
Amertume et égoïste
L'écrivain ne se cachait pas de ses nombreuses maîtresses l'officielle et "les passantes" tout occupé de flatter son égo pour le moins "surdimensionné". Sa femme, cantonnée au rôle de la délaissée chronique, remâche sa frustration et son amertume. J'avoue avoir espérer un affrontement plus vif, plus frontal car, de fait, la délaissée semble rester une éternelle amoureuse. Intéressant mais cette conversation presque paisible m'a laissée sur ma faim.
L'écrivain ne se cachait pas de ses nombreuses maîtresses l'officielle et "les passantes" tout occupé de flatter son égo pour le moins "surdimensionné". Sa femme, cantonnée au rôle de la délaissée chronique, remâche sa frustration et son amertume. J'avoue avoir espérer un affrontement plus vif, plus frontal car, de fait, la délaissée semble rester une éternelle amoureuse. Intéressant mais cette conversation presque paisible m'a laissée sur ma faim.
Roger V. a écrit le 29/10/2024 à 10h13
Note =
Très bon spectacle.
Maïté D. a écrit le 24/10/2024 à 14h58
Note =
Très,très bien joué