RICHARD III





À partir de 14 ans
TRAGÉDIE de William Shakespeare, mise en scène par William Mesguich, avec Estelle Andrea, Alexandre Bonstein, Xavier Clion, Madeline Fortumeau, Alain Guillo, Wiliam Mesguich, Nadège Perier et Thibault Pinson.
Comme dans Othello ou Macbeth, la démesure règne dans Richard III. Le spectacle retrace l'ascension de Richard, duc de Gloucester, impitoyable, qui ne recule devant rien pour devenir roi. Nous avons devant les yeux une fresque titanesque où désir de vengeance, soif de pouvoir, volonté d’éliminer ceux qui s’opposent, rapport intime au destin, augures magnifiés par des apparitions fantomatiques, composent ce maelström de poésie et de fureur. William Mesguich entouré d’une troupe des plus talentueuse, nous offre de grandes émotions et un immense bonheur.










15, boulevard Aristide-Briand
92405 COURBEVOIE
M° Pont de Levallois, bus 275
Web: www.sortiracourbevoie.fr
> Plan d'accès (Google Maps)
> Plan du métro (RATP)
92405 COURBEVOIE
M° Pont de Levallois, bus 275
Web: www.sortiracourbevoie.fr
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Le spectacle s'est joué dans ce lieu le 08/04/2025.
CONDITIONS GRAND PUBLIC
Durée 1h45.
CONDITIONS ADHÉRENTS
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Derniers commentaires des adhérents
Marie-Claude T. a écrit le 16/12/2024 à 11h11






Peut-on appliquer à Shakespeare pour son Richard III, la réplique que l'on prête à Alexandre Dumas, se moquant d'une critique lui reprochant d'avoir violé l'Histoire "mais je lui ai fait de beaux enfants", je ne sais. Mais la découverte d'un squelette, sous un parking, à l'emplacement du chœur de l'ancienne église de Greyfriars à Leicester et son examen confirmant qu'il s'agissait bien de celui de Richard III, fait apparaître déjà, des différences avec la description qu'en fait Shakespeare
Car si le roi souffrait bien d'une scoliose elle était beaucoup moins accentuée que le portrait tracé et aucune trace n'a été trouvée d'une infirmité du bras et de la jambe.
Il est plus que probable que Shakespeare a accentué la difformité du roi pour plaire à la reine Elisabeth petite fille d'Henri VII, 1er Tudor, qui, en tuant Richard à la bataille de Bosworth Field, aurait débarrassé le royaume d'un monstre dévoré par le désir d'un pouvoir absolu.
Et si tous les assassinats qu'on lui prête et notamment ceux de ses neveux, ne sont pas attestés, lui attribuer la figure maléfique que l'on sait contribue à la dimension épique de la pièce.
La violence, la démesure, le mal absolu incarné par le personnage, fussent-ils, en partie de fiction, sont ici, avec l'interprétation satanique et la mise en scène flamboyante de William Mesguich, à la hauteur du portrait tracé par le premier "William".
La qualité de l'ensemble de la troupe, le décor, les costumes, les jeux de lumières, tout concourt à faire de cette pièce une production d'exception.
Car si le roi souffrait bien d'une scoliose elle était beaucoup moins accentuée que le portrait tracé et aucune trace n'a été trouvée d'une infirmité du bras et de la jambe.
Il est plus que probable que Shakespeare a accentué la difformité du roi pour plaire à la reine Elisabeth petite fille d'Henri VII, 1er Tudor, qui, en tuant Richard à la bataille de Bosworth Field, aurait débarrassé le royaume d'un monstre dévoré par le désir d'un pouvoir absolu.
Et si tous les assassinats qu'on lui prête et notamment ceux de ses neveux, ne sont pas attestés, lui attribuer la figure maléfique que l'on sait contribue à la dimension épique de la pièce.
La violence, la démesure, le mal absolu incarné par le personnage, fussent-ils, en partie de fiction, sont ici, avec l'interprétation satanique et la mise en scène flamboyante de William Mesguich, à la hauteur du portrait tracé par le premier "William".
La qualité de l'ensemble de la troupe, le décor, les costumes, les jeux de lumières, tout concourt à faire de cette pièce une production d'exception.
Clara M. a écrit le 10/12/2024 à 22h14






Magistral spectacle dont la noirceur n'a d'égale que la modernité du propos.
Un grand texte, des costumes étudiés, une mise en scène fluide et une interprétation à la maestria incontestable ! Un bonheur de théâtre ! Merci les Gémeaux ! Merci Starter !
Un grand texte, des costumes étudiés, une mise en scène fluide et une interprétation à la maestria incontestable ! Un bonheur de théâtre ! Merci les Gémeaux ! Merci Starter !
Vincent a écrit le 09/12/2024 à 15h51






William Mesguich incarne un Richard III complètement hanté par sa folie destructrice. Sa voix puissante et rauque semble sortir directement de son âme. Il sort épuisé de cette performance de presque 2 heures - et le dit. J'ai trouvé que sa performance écrasait un peu trop les autres personnages. Il faudra attendre septembre prochain pour revoir cette pièce aux Gémeaux.
Monique D. a écrit le 08/12/2024 à 23h49






Exceptionnel, salle comble très à l'écoute, Mesguich à u immense talent. À voir absolument. Mon invité britannique a adoré.
Sylvie V. a écrit le 22/11/2024 à 06h22






Vu en Avignon
Une pure merveille d'interprétation et de mise en scène avec un William Mesguich captivant , au sommet de son art et une troupe exceptionnelle
À voir absolument !
Courrez-y !
Une pure merveille d'interprétation et de mise en scène avec un William Mesguich captivant , au sommet de son art et une troupe exceptionnelle
À voir absolument !
Courrez-y !