NUIT DE VALOGNES (LA)
(moyenne sur 10 notes)
COMÉDIE DRAMATIQUE d’Eric-Emmanuel Schmitt, mise en scène de Régis Santon, avec Bernard Malaka, Marie-France Santon, Anne Jacquemin, Sacha Stativkine, Camille Cottin, Vanessa Kryceve, Régis Santon, Stéphanie Lanier, Caroline Alaoui et Mélaine. SURTITRÉES EN FRANCAIS POUR LES SOURDS ET LES MALENTENDANTS LES 30/11, 2, 4, 27 et 29/12.
Une nuit, dans un manoir perdu de la lande normande, cinq femmes se réunissent pour instruire le procès de Don Juan. Ses anciennes victimes veulent l'obliger à épouser la dernière de ses conquêtes. Mais curieusement, Don Juan accepte. La vie lui aurait-elle déjà fait ce procès? La fin d'un mythe?
106, rue Brancion
75015 PARIS
M° Porte de Vanves / T3 Brancion
Tél: 01 56 08 33 88
Web: www.lemonfort.fr
> Plan d'accès (Google Maps)
> Plan du métro (RATP)
75015 PARIS
M° Porte de Vanves / T3 Brancion
Tél: 01 56 08 33 88
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Le spectacle s'est joué dans ce lieu du 15/11/2007 au 13/01/2008.
CONDITIONS GRAND PUBLIC
Jusqu'au 13/1: Mardi, Vendredi et Samedi à 20h30, Mercredi et Jeudi à 19h00 et Dimanche à 16h00. Places à 22€. Durée 2h00.
CONDITIONS ADHÉRENTS
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Un article en rapport avec ce spectacle :
> La Nuit de Valognes Dossier par Marie-Céline Nivière, paru le 23/11/2007.
> La Nuit de Valognes Dossier par Marie-Céline Nivière, paru le 23/11/2007.
Derniers commentaires des adhérents
Serge a écrit le 07/02/2009 à 09h24
Note =
Une très belle pièce, un texte d'Emmanuel SCHMITT comme je les aime ...
Sandrine R. a écrit le 11/01/2008 à 08h24
Note =
Très belle pièce! l'écriture est fine, la mise en scène, les costumes la musique, le jeu des comédiens, tout contribue à nous régaler. Nous avons passé un excellent moment!
Serge M. a écrit le 07/01/2008 à 14h48
Note =
Beau texte d'Eric-Emmenuel SCHMITT. Volontairement anachronique. Trop volontairement peut-être. Mais le nœud de l'intrigue est une vraie réponse de philosophe ... Une justification ? Une explication, au moins, du comportement hors normes et compulsif du symbole de la séduction ... Distribution pleine de nuance pour des rôles pas toujours faciles (en particulier la religieusse et Don Juan)Tout en flashes, et en fumée ... l'ambiance est digne d'un manoir hanté. A se demander (au d&but au moins) comment Don Juan a pu tomber dans le piège ... on finit par comprendre. Et puis l'opposition entre les juges (en blanc) qui sont sûrs de leur bon droit et du bien fondé de "leur" justice et le "mal" (le "mâle" ?) représenté par Don Juan (en noir)... Le tout sur la musique du divin Mozart passant, fort à propos, de son Don Juan au Requiem.
Bernard D. a écrit le 22/12/2007 à 01h57
Note =
Tout à fait d'accord avec le commentaire précédent! Beaucoup de situations ridicules auxquelles on ne peut croire une seconde ( l'homosexualité refoulée de Don Juan, l'attitude de la bonne soeur etc... ). Un coup de chapeau tout de même aux comédiens tous excellents et spécialement aux lumières très travaillées. Bref, une grande déception mais celà arrive quelquefois...
Charles C. a écrit le 19/12/2007 à 07h09
Note =
un très bon premier acte:les personnages font leur entrée,trés bien mis en scène, les éléments se mettent en place,dans une langue choisie,avec des réparties plaisantes et en costumes d'époque(pas évident,pour un auteur contemporain!)
les choses se gâtent hélas dès que Don Juan descend de son cadre .On frôle alors une version "vampirique" ,qui eût été drôle, mais le deuxième acte arrive,d'une platitude extrême, avec ses poncifs sur l'amour dans la bouche d'une "Angélique" plus bête que nature: le public commence à trouver le temps long...
enfin c'est le coup de grâce avec le 3 ème acte:une échappée vers l'homosexualité (air connu),une bonne soeur repentie qui se dépoitraille un crucifix à la main (grotesque):les "transgressions" et les audaces de l'auteur sont finalement trés convenues (et sans risque!)
les choses se gâtent hélas dès que Don Juan descend de son cadre .On frôle alors une version "vampirique" ,qui eût été drôle, mais le deuxième acte arrive,d'une platitude extrême, avec ses poncifs sur l'amour dans la bouche d'une "Angélique" plus bête que nature: le public commence à trouver le temps long...
enfin c'est le coup de grâce avec le 3 ème acte:une échappée vers l'homosexualité (air connu),une bonne soeur repentie qui se dépoitraille un crucifix à la main (grotesque):les "transgressions" et les audaces de l'auteur sont finalement trés convenues (et sans risque!)