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(6 notes) THÉÂTRE NATIONAL DE LA COLLINE Du mardi 17 janvier au dimanche 12 février 2023
THÉÂTRE CONTEMPORAIN. Des mots d’une femme internée en 1882 à Sainte-Anne, les Impressions d’une hallucinée extraits de la revue L’Encéphale, Isabelle Lafon et Johanna Korthals Altes nous dirigent aux frontières du désarroi mental, celui qui peut tous nous toucher, nous traverser de façon plus ou moins aiguë ou prolong...
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Notes des adhérents
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Nicole A. a écrit le 03/05/2023 à 21h31
Note =
Une écriture et un jeu d'actrices (2) parfaits. On ressent le dérangement mental, l'inquiétude, l'angoisse de se sentir devenir "folle"
Fabienne a écrit le 26/02/2023 à 22h13
Note =
Très bon spectacle.
Michel P. a écrit le 12/02/2023 à 19h00
Note =
Un spectacle court mais très dense qui, à partir notamment des mots d'une femme internée en 1882 à Sainte-Anne, nous conduit dans les ténèbres de la maladie mentale tout en insistant sur la nécessité de dialoguer avec les « fous »- parfois avec beaucoup d'humour. A l'issue de cette ultime représentation, la salle archi-pleine a offert une ovation debout aux comédiennes, toutes deux extraordinairement virtuoses.
Liliane B. a écrit le 02/02/2023 à 18h43
Note =
Je salue la performance des comédiennes qui interprètent un texte à l'image du titre de la pièce. Dès le début on est intrigué par la personnalité des protagonistes qui évoluent dans un décor épuré. J'ai beaucoup aimé.
Jean-François Fouque (j2f.) a écrit le 30/01/2023 à 14h28
Note =
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Une approche particulièrement juste et
pleine de tact pour ce récit à deux voix,
retraçant les paroles troublées, entre la
réalité, l'égarement et l'aliénation d'une
femme internée.
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j2f.
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Une approche particulièrement juste et
pleine de tact pour ce récit à deux voix,
retraçant les paroles troublées, entre la
réalité, l'égarement et l'aliénation d'une
femme internée.
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j2f.
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Annie C. a écrit le 19/01/2023 à 01h10
Note =
Une pièce courte, intense et aérienne, parfaitement maîtrisée. L'on ressent le dérangement mental plus ou moins aiguë accentué par le jeu en doublon d'un même texte, tout en y incluant de la légèreté, qui nous tient en haleine jusqu'à la 58ème mn. La justesse de l'écriture découle d'un long travail préalable auprès de psychiatres et de malades mentaux par Isabelle Lafon par ailleurs excellentissime comédienne.