Bien trop long et répétitif même si la performance physique est la

Si vous voulez finir sourds ou le tympan qui saigne allez-y mais que diable suis-je allée faire dans cette galère. Une heure les doigts vissés dans les oreilles et le son passait quand même
Une ovation quand même pour ces 4 malheureux « musiciens » « sportifs » pour leur performance.
Mais faut quand même avoir une sérieuse araignée voire une mygale au plafond pour pondre un truc pareil

spectacle surprenant. Gros éclat de rire au début et puis les choses se corsent et deviennent bcp moins légères ... performances sportives étonnantes, interprétation "jusqueboutiste", ... on sort du Rond Point rincés :-) ... moins que les artistes mais tout de même... un verre pour se remettre n'est pas de trop.

"One song" est déjà une création mythique par la performance rare de ses comédiens que l'on pourrait appeler "don de soi". Il y a là une esthétique du détail poussé à l'extrême, qui transforme la théâtralité du réel en une fiction singulière. Dépassant les frontières de l'ubuesque, ce spectacle crée une atmosphère aussi extatique que chaotique. Tout est symbole dans cette représentation autant sportive que musicale, où rien n'est laissé au hasard. C'est original et énergisant ! À ne pas manquer.

spectacle hors norme la répétition jusqu'à épuisement par une équipe incroyable sportif et musicien et danseurs complètement hypnotique.
merci au théâtre très bien placé (étais ce dû au public clairsemé) c'est dommage mais en tout cas merci par rapport au placement avant changement de propriétaire

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Un véritable spectacle séduisant et très
brillant... On progresse inéluctablement
au jeu des performances musicalement
sportives, jusqu'à l'épuisement, de tous
les protagonistes ! La rigueur rythmique
et harmonique, persiste inexorablement
sans aucune faille jusqu'à la fin et induit
de multiples symboles et références qui
frappent de façons différentes l'esprit et
l'âme de chacun de spectateurs...
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j2f.
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Un spectacle auquel je ne m'attendais pas ! Au début, le décor et l'introduction font sourire voire rire. Puis la force de la performance, physique et musicale tient en éveil, aux aguets. Miet Warlop entraine les musiciens performeurs au-delà de la représentation et fait ressentir la rage et la douleur de la vie et de la mort.
Juste un son un peu trop fort pour mes oreilles§

Performance ´theatrosportmusic' !! Jusqu'où l'énergie peut nous emmener et jusqu'au bout de nos forces.. jusqu'à la mort et c'est ds cette aventure que ns ns retrouvons tous ds le même partage !!

Belle performance liant à la fois le sport et la musique. La violoniste sur la poutre est impressionnante ! A voir !

Performance incroyable, musicalement et en énergie.

L'installation scénique laisse d'abord perplexe. Une commentatrice sportive s'installe et commence un mystérieux discours. Arrive ensuite un "public" plutôt discipliné et joyeux (ils ne le resteront pas tout le temps!).
Enfin arrivent la championne et les champions qui nous sont présentés un à un avec leurs "performances passées".
Au nombre de 5 comme les doigts de la main, et chacun dans leur discipline, ils vont rester unis pour leur combat : celui de nous partager une seule chanson en l'habillant de musique et de ressenti (force, contrôle, joie, fatigue, tristesse, ...la vie).
Alors oui, ce spectacle est un ovni qu'il faut essayer de comprendre ...ou pas !
De la danse (dont un Pom Pom Man lunaire qui se transforme en derviche tourneur), du chant, des musiciens, une performance sportive, un acte théâtral, plus rien ne pourra vous étonner : c'est de notre monde que l'on nous parle !
Et puis il y a aussi ce métronome diabolique qui semble être leur maitre à tous et qui impose sa cadence de travail !
Miet Warlop travaille sur le "cycle", et dans One song le processus itératif ne peut que se terminer par un épuisement des protagonistes.
Alors inévitablement on en vient à penser au livre d'Horace McCoy dont Kubrik a su tirer la noirceur en réalisant son film "They shoot horses, don't they ?" ...
C'est l'unique question à laquelle One Song répond dans ses premières phrases "Run for your life, 'till you die, 'tilI I die, 'till we all die". CQFD
Pour celles et ceux qui aiment les prestations "décalées" ... à voir et à écouter, leur combat est le nôtre !

Une seule chanson répétée à l'infini, une communion extatique d'une troupe bien décidée à dépasser toutes les limites.
Une danse tonitruante, parfois à la limite de l'agressivité où l'on s'abandonne en retrouvant ses instincts primaires. Il y a aussi de l'humour et de la cohésion dans l'extrême. Chacun est différent mais un feu secret et sacré semble tous les consumer et les souder. Une femme vocifère des borborygmes dans un mégaphone, un public sur scène soutient et rythme l'histoire qui revient en boucle, une musicienne performe sur une poutre, un chanteur sur un tapis roulant, une pom pom girl moustachue mute progressivement en derviche tourneur....On a presque envie de faire sauter nos propres verrous pour rejoindre cette transe tribale envoûtante et hypnotique...
Une performance physique incroyable, un spectacle hallucinant.

La discipline et l'émotion d'un Haka, l'ostinato rythmique invariable d'un Boléro de Ravel, le prélude empêché d'un violoncelle de Bach, l'obstination d'un derviche tourneur, toute l'endurance, toute la puissance, l'équilibre, la vitesse, la force voire l'agressivité - tout le sport et la musique comme catharsis - mais rien au monde ne pourra barrer la route du chagrin. Knock knock who's there ? C'est le chagrin passé, impossible à déraciner. Il vous poursuivra dans tous les recoins de la vie, il scintillera telles les étoiles disparues, longtemps visibles après leur extinction. Toute l'énergie que vous déploierez, et jusqu'à votre épuisement, il sera toujours là.
Ils sont comme le chagrin "les douze" de Miet Warlop, ils s'incrusteront de manière permanente dans votre mémoire théâtrale. La commentatrice fait les présentations, les chevaux sont en ordre de bataille : même si on les achève tous les soirs, ils se relèveront et l'histoire continuera le lendemain.

En préambule, nous avons re-découvert avec plaisir le Théâtre du Rond-Point rénové et sa nouvelle direction artistique.
Nous avons ressenti One Song comme une "performance", alliant musique hypnotique et dépassement physique jusqu'à l'épuisement des interprètes. Nous avons été envoutés par ce spectacle étrange et inédit.

On se prend une claque dès le début et ça continue jusqu'à la fin ! Je n'ai rien vu de tel et je ne pense pas que je trouverai quelque chose de similaire de sitôt

Un ovni musical et sportif qui donne la pêche.

Il y a des spectacles dont on ressort sans avoir un avis particulier. Ce serait le cas pour celui-là. La commentatrice a dû mal démarrer ce spectacle dissonant même avec trois jambes. Je comprends le stade, les athlètes, la pom-pom girl (soit dit au passage très bon danseur), mais l'ensemble est agressif. J'ai apprécié le don de bouchons d'oreilles, portés tardivement hélas....

Cet ovni théâtral, nous montre un genre de marathon musical où la performance sportive se double de l'interprétation en boucle d'un même thème musical (très bien heureusement!) pendant une heure jusqu'à l'épuisement des participants, sportifs et spectateurs, qui n'est pas sans rappeler le On achève bien les chevaux de Sidney Pollack, l'aspect social en moins. D'une grande vitalité et étonnamment captivant!

C'est vrai que c'est disjoncté, et répétitif. Soit on aime, ou soit on aime pas du tout. Une troupe de 13 interprètes de toutes âges et tailles nous donnent à fond pendant une heure. Cest un ballet! C'est très sportif, et One Song veut dire One Song du début à la fin. C'est hilarant si on rentre dedans, et c'est très ennuyant si on ne comprend rien. Plutôt pour un public jeune, non conformist, branché.