c'est un etat d'ame plus qu'une comedie, un certain etat d'esprit nécessitant une tres bonne culture generale. le propos est vif, alerte et pratique l'ironie ! j'ai beaucoup aimé !

Excellent jeu d'acteur

Une sacrée performance pour ce seul en scène. De nombreuses références, pas toutes faciles d'accès, et jeux de mots. Le texte mérite le détour. Il faut bien se concentrer

Formidable spectacle : choix des textes dans le roman de Thomas Bernhard, mise en scène d'Eric Didry, interprétation de Nicolas Bouchaud. Tout y est pour un moment intense, drôle, intelligent. Courrez-y là et où il se donnera !

Spectacle jouissif, exceptionnel !

Tout à fait d'accord avec les précédents commentaires. C'est remarquable . A ne pas manquer .

Très bonne prestation et texte irrésistible. A voir!

Ce grand maître de la férocité qu'est Thomas Bernhard au cas où nous l'aurions oublié, est - aussi- prodigieusement drôle. Servi par le comédien Nicolas Bouchaud, c'est -aussi- la garantie de qualité.

quel texte, quel acteur talentueux !

Un jeu de massacre réjouissant (du Thomas Bernhard pur jus), magistralement interprété par Nicolas Bouchaud. A ne pas manquer !

Génial et inclassable

Superbe ! Un texte qui nous parle des vivants et des morts, avec lequel on rit souvent et une interprétation brillante

Fabuleux Nicolas Bouchaud ! Et quel texte corrosif !Un régal à ne pas manquer.

Toujours intéressant de réécouter ce texte de T. Bernhard avec les facéties de N. Bouchaud.

Nous avons été captivés, pour ne pas dire hypnotisés
par la prestation de Nicolas Bouchaud!
Sa performance d'acteur donne tout son sens au texte magnifique écrit par Thomas Bernhard.
Il est rare qu'une oeuvre et son interprète soient à ce niveau de qualité.
A voir absolument !

Haïr pour mieux aimer, aimer pou mieux haïr, tel est le sujet mis en avant dans cette pièce. Et pourtant, ce texte de Thomas Bernhard, magnifiquement déclamé par Nicolas Bouchaud, cache plus de vérités qu'il n'y parait ! C'est un texte « Matriochka » où l'on découvre des choses différentes à chaque fois qu'on ouvre une poupée ! Et si aimer ou détester l'Art et la Musique n'était qu'un subterfuge pour parler de l'héritage, de la descendance, de ce qu'on va laisser aux générations futures ? On y parle d'Art mais on y parle aussi de Famille ! Et comme le dit mon amie Annie, « Et si le théâtre valait mieux qu'une thérapie ? », il serait bien que les professeurs avec leurs élèves, les parents avec leurs Ados se précipitent voir ce spectacle pour s'ouvrir un horizon et découvrir d'autres façons d'aborder l'Art, la Famille, la Vie !

Magnifique interprétation de Nicolas Bouchaud de l'homme perdu allant jusqu'à la folie au milieu des maîtres anciens

Quelle magnifique soirée grâce à Starter et au théâtre 14 ! Et la pièce Maîtresse Anciens est une superbe découverte, avec un formidable acteur
Bravo 👏👏👏

Une soirée enchanteresse ! ⭐⭐⭐⭐⭐⭐
D'abord la "comédie" de Thomas Bernhard, satire incisive et cruelle du patrimoine culturel européen et de notre patrimoine familial !
Puis la mise en scène épurée qui s'efface derrière le discours, passant d'un sujet à l'autre...et pourtant le texte nous invite à l'esprit critique !
Enfin et surtout, Nicolas Bouchaud, immense comédien à la présence charismatique dont le verbe transcende la "logorrhée " de cet étrange Reger.
Moments délicieux prolongés par un échange précieux avec l'artiste, l'équipe du Théâtre 14, et bien sûr STARTER ! Merci !
Bravo 👏👏👏

Et avec la langue de Bernhard, Nicolas Bouchaud explose ! Stoïque en Lederhose digne d'une Oktoberfest tyrolienne ou simplement emballé dans une toge impériale en papier kraft, il mitonne une pleine marmite de vitupérations, tourne tout art en eau de boudin et répand le ragoût épicé de ses diatribes sur l'ensemble de la culture européenne. Il est purement hypnotique ! Mesmérisés par l'acharnement de son assaut, secoués par le martèlement de ses divagations, haletant d'effroi, on part dans un rire homérique. Si ce musicologue musicophobe était une chose, il serait ce vinyle coincé sous la poudre jaune précipitée d'un sac piégé au plafond par un pétard. Au tribunal austropathe de Thomas Bernhard on élimine pêle-mêle musique, littérature, peinture, philosophie, sculpture, car l'art n'est jamais là quand on a besoin de lui. La mise en scène d'Eric Didry lâche le kilotonnage d'un engin coquet soigneusement assemblé pour mieux se décomposer.

Délicieuse interprétation de Nicolas Bouchaud. On s'en défend par le rire, mais ce curieux personnage qui s'attaque avec véhémence aux piliers de notre culture nous désarçonne.