Époustouflant ! On ne sais plus sur quelle planète on a atterri ! Un vrai cyclone. Absurde, violent, comique, politique, burlesque : un vrai tambour de lave-linge
Une pièce qui marque.
Un public très jeune ! Bravo !

Ennuyeux comme la pluie, faussement subversif... On nous prend vraiment pour des imbéciles. une débauche de moyens et des comédiens pas mauvais pour un résultat bien pauvre.

Je suis allée voir ce spectacle car le descriptif m'interpelait. Je suis sortie sidérée. Indescriptible. Un o.v.n.i .
Âme sensible s'abstenir. C'est Trash mais d'une esthétique tellement percutante... j'ai adoré et détesté.
Une expérience artistique

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Après un démarrage plutôt flamboyant,
la répétition du principe d'interprétation
tombe dans une routine soporifique, en
ce qui me concerne... La chorégraphie
du tableau final, se révèle d'une beauté
poétique du plus bel effet, et surtout, je
retiens les magnifiques qualités vocales
de François Praud, pour les 3 chansons
du spectacle. (Il sera en concert, "piano
voix", samedi 20/01 à 22h au restaurant
du Rond-point).
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j2f.
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C'est une/ma scène sur laquelle je contemple des/mes fantasmes. J'en connais certains, d'autres pas, j'en contrôle certains, d'autres pas et ça se répète indéfiniment. Tout cela me conduit de la jouissance au dégoût en passant par l'indifférence et ça recommence. Il faut s'accrocher, ça secoue !
Mais au delà de ces/mes projections de l'esprit, la mise en scène, la chorégraphie, les costumes et les dialogues déjantés nous guident en terra incognita et nous tiennent (même si quelque fois j'aurais préféré quelques itérations de moins).
Toutefois, un bravo incontestable devant tout ce boulot, ces partis pris et cette structure maîtrisée.

Un moment qui ne laisse pas indifférent ! J'ai vu cette pièce comme une performance visuelle et je peux dire que sous cet angle là c'est une réussite tant par la mise en scène, les costumes et la bande-son et lumière. Quant aux 2 histoires qui sont liées par le froid et par la provocation en tout genre, c'est une bouffonnerie à laquelle je n'ai pas vraiment adhéré. Mais je ne regrette pas du tout ma soirée qui m'a permis de découvrir cet auteur atypique.

Ca secoue un peu et ça fait du bien ! J'ai préféré la première partie à la deuxième et je n'ai pas vraiment saisi le fil conducteur entre les deux histoires mais la mise en scène et le jeu des acteurs restent exceptionnels du début à la fin.

Le théâtre de Copi ne laisse jamais indifférent, cette pièce ne faisant pas exception à la règle car il suffit de voir la variété des commentaires des adhérents Starter ! Une fois encore nous assistons à représentation avec des actrices et acteurs très physiques, à une débauche d'effets, souvent répétitifs, à des costumes incroyables, à des éclairages superbes ! Mais dans tout cela se cache de nombreuses références à l'Art en général qui ne sont pas toujours faciles à deviner et c'est bien là la force de Copi ! Il nous présente un spectacle qui est une ode à la recherche des émotions, une poésie de la gestuelle et c'est brillamment interprété !

Ces deux pièces de Copi, déjà caractérisées par une écriture quelque peu déjantée, sont poussées à l'extrême dans cette mise en scène. Les comédiens insufflent une énergie formidable à cette interprétation. Cependant, en ce qui concerne la mise en scène, elle tend à nous saturer à la longue. Si la première pièce reste observable, la seconde, enchaînée directement, devient vraiment difficile à suivre. Malgré une recherche louable dans la mise en scène, celle-ci ne m'a pas convaincu. Un spectacle qui laisse un sentiment de moyenne satisfaction à la fin.

Certaines pièces de Copi sont "particulières" - ce qui est le cas des deux choisies ici (écrites en 1971 et 1973) : si vous ne supportez le terme "salope" tous les cinq minutes, ça va être compliqué.
Les + : il y a un vrai travail de qualité indéniable - costumes, esthétique, bande-son ... il y a aussi beaucoup d'humour avec des moments puissamment burlesques.
Les - : l'ensemble manque de rythme, la seconde pièce (les 4 jumelles) qui n'est qu'une succession de morts et de renaissances sans fin peut vite lasser.
Copi avait un style provoquant avec des pièces où sexe et drogue sont omniprésents à travers un texte très cru (ce qui amuse beaucoup les ados apparemment), mais quel intérêt et quelle résonnance en 2024 ?

Dans la vie, notre regard peine à se frayer un chemin entre le beau et le laid, ce qui est immanquablement le cas dans cette mise en scène du talentueux Louis Arène.
Violent, grotesque, cruel, crû, - parfois sale - mais très souvent drôle : ce spectacle a le mérite de bousculer les codes au travers de tableaux magistraux.
L'esthétique globale est dérangeante, surprenante mais soignée, et la performance physique des acteurs - dans un jeu de mouvements chorégraphiés - est notable !
Les costumes de Lacroix et les coiffures de Véronique Soulier-Nguyen sont époustouflants et nous guident dans un univers à la fois brut et futuriste.

Copi écrivait pour les marginaux et les exclus et militait pour qu'ils trouvent une place en ce monde. Munstrum Théâtre a créé une planète pour eux, une galaxie, des constellations. Des créatures macrocéphales invertébrées aux têtes luisantes comme un oeuf en costumes Christian Lacroix, des bourgeois à la gomme dopés à l'héroïne (mais juste pour réveiller les démons du corps), des êtres pluricellulaires aux composantes modulables et décomposables, ou rien que des embryons inachevés aux organes détachables et inusables, investissent avec frénésie la grande scène de la salle Renaud-Barrault. S'ils habitent un monde hostile aux températures avoisinant les 40º sous zéro, s'ils semblent parfois trop singuliers et pervers, c'est qu'ils tentent d'échapper aux assignations et interrogent les limites du langage lui-même à définir une identité. Les artistes flamboyants du Munstrum s'intéressent à ce qu'il y a de fuyant dans tout corps, d'inexprimable dans toute identité, et mettent en scène ce luxe d'anatomie pour mieux disséquer sa difficulté, voire son incapacité à dire exactement ce que l'on est.
C'est du théâtre par excellence. Et dans toute son excellence. Entre un Tolstoï trans et un Ionesco queer, comme une revisite de l'archipel du goulag sous l'étoile de Francis Bacon, il y a grand danger qu'il puisse ébranler vos convictions.

Ce spectacle qui restitue intégralement les deux pièces, est à l'image de l'univers de Copi : à la fois monstrueux, ironique, décadent, politique et provocateur. D'une esthétique à couper le souffle, il est aussi profondément encré dans le 21ème siècle ; la foule de jeunes présente ce soir en témoigne.

Sur la forme, ce spectacle est désopilant, burlesque, décalé et provocateur. On ne peut qu'apprécier la débauche d'énergie des comédiens illustrée par une scénographie inventive. Quelques scènes musicales et chorégraphiques sont magnifiques.
Sur le fond, ce spectacle "genré" illustre les préoccupations sociétales actuelles qui traversent nos démocraties occidentales. Un public acquis y trouvera son compte.

Une mise en scène grandiose, des costumes beaux et parfaitement adaptés. Tout semble réunit mais j'aurais préféré un peu plus de danses même si le thème choisit est respecté et en cela réussit.

Très belle belle mise en scène. Des acteurs formidables ! On est est saisi du début à la fin. Quel plaisir de retrouver Copi. Toute la salle est debout pour applaudir longuement....

Surréaliste, hétéroclite, déjanté , décalé, dystopique, extravagant, exubérant, inclassable...
Une performance, une œuvre qui ne laisse pas indifférent, qui bouscule, avec de l'outrance mais aussi quelques instants d'une grande poésie... osez ce spectacle pour explorer les univers des spectacles vivants qui bousculent en dehors de nos petites zones de confort...!

La salle ovationne debout : l'univers de l'outrance et de la démesure de Copi peut déstabiliser ceux qui ne le connaissent pas. Transgression et extravagance domine cette œuvre plastique et musicale ; époustouflante performance des 7 comédiens habillés par Christian Lacroix. Un final qui s'étire dans des scènes visuelles dansées d'une grande poésie, un éclairage très très soigné. On retrouvera deux chansons de Michel Berger et Radio head, des changements de sexe à gogo ; on s'arrachent ses attributs sexuels pour n'être ni hommes ni femmes et quand la folie l'emporte, les décors aussi seront mis à bas, pour ne laisser qu'un monde dévasté, une humanité nue.
Il y a quelques longueurs. On sourit plus qu'on ne rie. Parfois c'est captivant. On ne peut nier le côté jubilatoire qui pourfend tous les codes. C'est du Copi !
La salle ovationne debout, alors un artiste lit un texte engagé à propos de la possibilité de n'avoir pas de camp à choisir, hormis celui de la paix partout où il y a des conflits meurtriers.
Un spectacle dont on se souviendra, un genre à découvrir pour beaucoup.

Vous devez absolument voir la bande-annonce sur le site du théâtre avant d'y aller. C'est tellement spécial. Je ne peux pas dire que j'ai détesté, mais je ne suis pas sûre d'avoir aimé trop bizarre, trop trash. Belle chanson mais deuxième acte parti beaucoup trop long. En tout cas pas à recommander à tout le monde.

pas vraiment emballé par ce spectacle, (je connaissais l'univers de Copi pour avoir vu d'autres pièces de lui).J'ai juste souri pas moment. Sans doute je n'ai pas adhéré à la mise en scène. Belle performance des acteurs
A voir, si l'on aime le "trach"

1h55 c'est long, surtout quand il n'y a que 2 chansons, une au début et une à la fin du spectacle, qui sont assez remarquables et seulement 1 ou 2 situations qui font sourire.
Pourtant il y a beaucoup de moyens dans cette pièce, mais pour un résultat bien décevant... C'est peut-être cela qu'on appelle théâtre subventionné ? Quel gâchis !
Une petite étoile pour les chansons déjà citées, les acteurs qui se donnent à fond et les costumes de Christian Lacroix.

Un spectacle de toute beauté, une beauté très spéciale, tant dans la musique (deux très belles reprises a capella de chansons pop), que dans les costumes futuristes de Christian Lacroix, les coiffures de Véronique Soulier-Nguyen, et la mini chorégraphie finale. Un spectacle très spécial, trash, où le magnifique alterne avec le glauque, où le grotesque fait rire, où la violence est omni présente dans les actes et dans les paroles. Difficile à recommander cependant tellement il est spécial, trash, et crû. Même si je n'ai pas tout aimé (un peu trop de répétitions dans la seconde partie qui aurait pu être raccourcie), c'est une performance théâtrale et visuelle impressionnante, qui je pense me restera longtemps en mémoire !

Une création du Munstrum Théâtre qui déjante encore plus 2 pièces de Copi. C'est grinçant, surréaliste, trah parfois mais tellement joué naturel, le tout accentué par les costumes invraisemblables de Christian Lacroix et la bande sonore live. Bravo les artistes, quelle performance !
j'avais vu le spectacle en 2021 au Montfort et suis revenue le revoir au Rond-Point !

J'ai d'abord été surpris, puis cela m'a déplu, puis j'ai failli m'endormir pendant la première partie, avant d'être réveillé de manière tonitruante pour la 2ème partie (Les Quatre Jumelles), d'être transporté, brinquebalé surtout, sans comprendre ni où, ni pourquoi, ni comment, avant de finir le sourire aux lèvres devant la mise en scène et la scénographie et d'applaudir à tout rompre. Vraiment pas un spectacle pour tout le monde, faut aimer les expériences et la provoc trash, mais, bien que super méfiant au début, j'en suis sorti conquis !

salle debout enthousiaste pour applaudir ce spectacle original ,inventif,esthetique et puis COPI!!!

Une salle pleine à craquer , un public de tous âges , et une longue ovation debout pour la nouvelle création du Munstrum Théâtre de Louis Arène . Ce dernier revisite 2 oeuvres de Copi des années 70 . La première se déroule en Sibérie , la deuxième en Alaska ( d'ou le titre ! ) . C'est drôle , cruel , grinçant , Kitch , loufoque , inventif . Les costumes de Christian Lacroix apportent un + incontestable . Comme toujours chez Copi , pour " public averti " .....

C'est bien déjanté, souvent hilarant, ubuesque sur un rythme éffréné avec des costumes superbes. À voir en se laissant porter par cette troupe très inventive