Une très belle interprétation de Betty Pelissou. A ne pas louper !

Cette trame intemporelle de Stefan Zweig nous entraîne dans les méandres de l'amour, capturant ses nuances et ses bouleversements. Cette révélation déborde d'une sincérité empreinte d'humilité et de passion. Une talentueuse actrice nous guide à travers ces tourments avec élégance et sensibilité. Une direction artistique soignée nous plonge au coeur de ce drame amoureux, offrant une expérience théâtrale immersive. À ne pas manquer.

Magnifique performance, bouleversante et émouvante.

Excellent Lily tellement bien joué

Excellente interprétation, avec beaucoup d'émotions qui sont magnifiées par un jeu d'éclairage très précis!

Très belle et très émouvante interprétation. Bravo !
J'ai préféré de loin cette version à celle vue l'année dernière au Studio des Champs-Elysées.

Betty Pelissou interprète avec beaucoup d'émotion ce chef d'œuvre indémodable de Stefan Zweig.
À ne pas manquer !

Betty Pelissou incarne ce personnage habité par une obsession maladive dont les affres de l'adolescence portent à faire de ce voisin l'amour transcendé de sa vie.

Véritable performance de cette excellente comédienne, seule en scène, et quelle émotion !!
On est pris par toute son histoire et on en ressort différent......

Cruauté émouvante d'une obsession à sens unique et pour le moins inquiétante.
Formidable mise en scène magnifiée par les éclairages de ce cocon perché en haut du Lucernaire et remarquable comédienne.
Un moment plutôt passionnant et questionnant.

L'interprétation de Betty Pelissou et la mise en scène de William Mesguich sont remarquables, donnant toute son actualité à un texte écrit en 1922. À voir !

William Mesguich n'est jamais autant à son aise que lorsqu'il met en scène la folie, ce lieu échappant au réel qu'il peut modeler à son gré. Un cas d'école de stalking, dirait-on aujourd'hui ? Comment déchiffrer l'amour obsessionnel et mortifère de cette inconnue un siècle plus tard ?
Auto-séquestrée dans sa crypte volontaire, un espace incessamment recomposé par des cônes de lumières jetant autant de projectiles qu'elle aligne des mots sur papier, cette jeune femme a coupé tous les ponts d'avec la vie et le reste du monde. Des lumières insinuantes font figure de tortionnaires expérimentant cet espace mental altéré : prolixes dans la description des pièces qui le composent, s'éteignant l'une après l'autre derrière un petit souffle : c'est peut-être le plus beau et complexe plan de feux jamais vu dans la petite salle du Paradis.
Douce et innocente au début, entièrement possédée par sa dévotion enfiévrée ensuite, Betty Pelissou finit par forger une femme inquiétante dans les pics sonores de ses intonations anxiogènes, comme surprise elle-même par la violence que constitue cet acte de négation de soi et de rétrécissement de la vie. (Un rapprochement immédiat et fertile en analogies se tisse avec un autre texte sur la puissance de la fiction sur l'esprit, un certain "Misery".)