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(21 notes) THÉÂTRE DE PARIS Du mercredi 17 avril au dimanche 28 avril 2024
SEUL-E EN SCÈNE. Écrit pour Nicole Garcia, ce monologue flamboyant de Marie Ndiaye livre un portrait de la féminité tout en clair-obscur, où le vertige des mots vient exprimer la dévorante violence des rapports humains et le prodigieux effort qu’il nous faut faire pour nous faire accepter du monde. Une sourde viol...
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Notes des adhérents
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Barbara L. a écrit le 07/06/2024 à 23h36
Note =
Un texte poignant , intelligent et une superbe interprétation par Nicole Garcia, habitée par le personnage .
Patrick C. a écrit le 07/06/2024 à 15h04
Note =
texte était difficilement audible et, le débit rapide du monologue rendait la compréhension difficile.
Catherine C a écrit le 12/05/2024 à 19h08
Note =
L'écriture de Marie Ndiaye et sa façon d'aborder le sujet ne m'ont pas séduite. Ni le débit rapide de Nicole Garcia, qui fait merveille quand elle a un interlocuteur, mais n'est pas adapté à un monologue
Laurent M. a écrit le 05/05/2024 à 19h47
Note =
Plaisir de voir Nicole Garcia sur scène. Thème intéressant. Mais il y a un souci de rythme : la diction ultra rapide de l'actrice ne permet pas de masquer un certain ennui durant la pièce
Brigitte S. a écrit le 04/05/2024 à 13h05
Note =
Ressenti mitigé
Le sujet était intéressant et la comédienne talentueuse, toutefois, je dois avouer que je suis restée un peu en dehors. J'ai trouvé que l'exposition du problème était un peu longue à se mettre en place. De plus, le texte était difficilement audible et, le débit rapide du monologue rendait la compréhension difficile. Une salle plus petite permettrait, peut être, une connivence plus aisée.
Le sujet était intéressant et la comédienne talentueuse, toutefois, je dois avouer que je suis restée un peu en dehors. J'ai trouvé que l'exposition du problème était un peu longue à se mettre en place. De plus, le texte était difficilement audible et, le débit rapide du monologue rendait la compréhension difficile. Une salle plus petite permettrait, peut être, une connivence plus aisée.
Marie-Claude B. a écrit le 04/05/2024 à 13h02
Note =
Nicole Garcia incarne cette prof rongée pas la culpabilité. Excellente pièce !
Nicole P. a écrit le 30/04/2024 à 02h02
Note =
Beau texte de M Ndiaye bien joué par Nicole Garcia, mais dommage que sa diction soit parfois défaillante
Thierry S. a écrit le 27/04/2024 à 07h29
Note =
Une pièce au texte ciselé , Une mise en scène originale, et une actrice au combien brillante . Un sujet difficile, porté par une Nicole Garcia possédée par son personnage nous faisant parfaitement partager les hésitations , les questionnements doutes et interrogations d'une vie dans ce sujet . À voir ... à entendre et à réfléchir !
jpierre a écrit le 25/04/2024 à 17h29
Note =
Un start, mais le texte Dans un décor soigneusement conçu, Nicole Garcia démontre tout son talent. Cependant, à mon avis, le texte met trop de temps à démarrer et le problème central ne se présente que tardivement dans la pièce. Ainsi, bien que l'actrice soit admirable, le texte ne la met pas nécessairement en valeur.
Brigitte M. a écrit le 22/04/2024 à 10h31
Note =
Belle prestation de Nicole Garcia, seule sur scène. Sujet difficile et d'actualité. Une légère difficulté à entrer dans le texte au début, mais un déclic soudain, un bon moment, mais ce n'est clairement pas pour tout le monde.
Evelyne P. a écrit le 21/04/2024 à 22h38
Note =
Texte difficile à suivre, j'ai parfois décroché. Manque un peu d'émotion mais Nicole Garcia incarne bien son personnage. Soir de première, la salle est pleine de VIP visiblement séduits car la comédienne est très applaudie.
Thierry C. a écrit le 21/04/2024 à 19h11
Note =
Magnifique Bouleversant et Joué à la perfection
Marc O. a écrit le 19/04/2024 à 06h05
Note =
Sidérée
Dans un temps suspendu entre l'évident drame et l'émotion, où un acte insensé, inacceptable, devrait pouvoir être REDUIT à des explications. Et où ce récit devrait pouvoir être intégré à la trajectoire de ses protagonistes, entre responsabilité, complicité ou aveuglement protecteur et égoïste
Les voix intérieures d'une prof de français qui n'ose pas rentrer dans son immeuble
Celle de la femme mal aimée, qui ne sait pas aimer
De la prof qui se sent harcelée par ses eleves, qui est choquée par l'affirmation de leurs differences
Surtout qu'elle est l'ex migrante qui a appris à montrer patte blanche, a être lisse et transparente
De la femme qui est sensible à la douleur et aux difficultes d'une enfant
De celle du prof qui fait ce qu'il faut, qui réprimande pour stimuler, alors qu'elle aurait pu encourager, mais serait ce casser la distance, montrer une fragilité devant des fauves?
Parce qu'au dessus de chez elle habitent les parents d'une de ses élèves qui s'est suicidée en s'écrasant depuis le 3e étage dans la cour de l'immeuble....
Au bord de l'abîme, la somme des éléments d'une psychanalyse avant la cristallisation inéluctable devant la redoutable attitude des parents qu'elle s'imagine l'attendre sur son palier
Texte qui reflète toutes les brutalités qui sculptent une âme
Brillantissime texte
Interprétation impeccable
Pourtant un peu dur d'oreille, la diction un peu tumultueuse de Nicole Garcia ne m'a pas trop frustré 😂
Un peu dubitatif sur la scénographie qui parvient a posteriori seulement à figurer la vie d'un immeuble, on pourrait utilement imaginer les bruits intrusifs d'une cage d'escalier, bruits d'ascenseurs, claquements de porte, bruits de pas, de chiens, d'humains qui s'interpellent, résonnances inquiétantes, comme les borborygmes menaçants d'un être vivant. En train de tenter de digérer l'inacceptable...
A recevoir
Un vertige, une perte de repères, un choc....
Dans un temps suspendu entre l'évident drame et l'émotion, où un acte insensé, inacceptable, devrait pouvoir être REDUIT à des explications. Et où ce récit devrait pouvoir être intégré à la trajectoire de ses protagonistes, entre responsabilité, complicité ou aveuglement protecteur et égoïste
Les voix intérieures d'une prof de français qui n'ose pas rentrer dans son immeuble
Celle de la femme mal aimée, qui ne sait pas aimer
De la prof qui se sent harcelée par ses eleves, qui est choquée par l'affirmation de leurs differences
Surtout qu'elle est l'ex migrante qui a appris à montrer patte blanche, a être lisse et transparente
De la femme qui est sensible à la douleur et aux difficultes d'une enfant
De celle du prof qui fait ce qu'il faut, qui réprimande pour stimuler, alors qu'elle aurait pu encourager, mais serait ce casser la distance, montrer une fragilité devant des fauves?
Parce qu'au dessus de chez elle habitent les parents d'une de ses élèves qui s'est suicidée en s'écrasant depuis le 3e étage dans la cour de l'immeuble....
Au bord de l'abîme, la somme des éléments d'une psychanalyse avant la cristallisation inéluctable devant la redoutable attitude des parents qu'elle s'imagine l'attendre sur son palier
Texte qui reflète toutes les brutalités qui sculptent une âme
Brillantissime texte
Interprétation impeccable
Pourtant un peu dur d'oreille, la diction un peu tumultueuse de Nicole Garcia ne m'a pas trop frustré 😂
Un peu dubitatif sur la scénographie qui parvient a posteriori seulement à figurer la vie d'un immeuble, on pourrait utilement imaginer les bruits intrusifs d'une cage d'escalier, bruits d'ascenseurs, claquements de porte, bruits de pas, de chiens, d'humains qui s'interpellent, résonnances inquiétantes, comme les borborygmes menaçants d'un être vivant. En train de tenter de digérer l'inacceptable...
A recevoir
Un vertige, une perte de repères, un choc....
Marie-Hélène C. a écrit le 18/04/2024 à 22h27
Note =
Texte poignant admirablement interprété par Madame Garcia