Bouleversante Jessica Astier dans cette pièce adaptée du roman de Carole Martinez. Remarquable mise en scène de William Mesguich qui rayonne toujours !

Le cadre historique est original, la présentation de la pièce est intéressante, mais nous sommes ressorties plutôt déçues. Cette histoire est d'une tristesse ! Le livre a pourtant gagné le prix Goncourt des lycéens...
Le résumé du spectacle indique « Un conte poétique et brûlant qui dresse l'inoubliable portrait d'une femme héroïque, vivant à la lisière du songe », nous n'y avons vu que destin tragique et bêtise humaine, sans comprendre le message que l'on a voulu transmettre.

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Une pièce dont le texte en forme de
conte poétique est basé sur un fond
historique. Il y'a un réel engagement
profond de la comédienne portant, à
bout de bras, toutes les complexités
de son personnage.
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j2f.
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Une belle adaptation de William Mesguich de ce roman que j'avais beaucoup aimé et une interprétation brillante par la magnifique Jessica Astier.

Pièce étonnante ressemblant à une légende médiévale mystique. Beaucoup de poésie dans le texte, la mise en scène. Histoire étrange de cette belle recluse (et de son enfant), de ses épreuves (entre enfermement réel et libération de l'âme), de ses interactions avec la nature, les villageois et les pèlerins. On est transporté au temps des croisades, des sorcières et du patriarcat.

Très e

Cette légende qui tourne autour d'une femme emmurée nous plonge profondément dans les mentalités et les moeurs de l'époque à travers ses récits captivants. La comédienne nous guide avec un talent remarquable et une conviction palpable à travers cette narration complexe et émotionnelle. La mise en scène soigneusement orchestrée offre un cadre magnifique qui enrichit l'expérience théâtrale et donne à ce spectacle une dimension particulièrement immersive et enrichissante, à voir.

Beaucoup de belles réussites : oeuvre littéraire, jeu de l'actrice, mise en scène, lumières. Bravo !
Spectateurs, allez-y !

Une légende sombre dans les marécages de l'âme humaine.
Jessica Astier, quel talent, talentS !!
Une mise en scène remarquable, justifiée, de William Mesguich
Étonnant, détonnant, à ne pas manquer !

Tout est remarquable dans ce seul en scène...
Une histoire palpitante...
Un texte littéraire fort bien construit et écrit.
Une mise en scène incroyable.
Une actrice incarnée !
Le meilleur spectacle que j'ai vu cette année !

Comme l'a très bien souligné William Mesguich lors de la soirée Starter, mettre en scène un roman de 250 pages n'est pas chose aisée si l'on veut faire ressortir toutes les subtilités de l'œuvre de Carole Martinez. Cette pièce est une grande réussite, tant au niveau de la mise en scène, des jeux de lumières et du décor qui ont su s'adapter à la scène du Lucernaire et mettre en valeur le jeu de Jessica Astier. Elle incarne plusieurs rôles et les principes retenus pour mettre en avant chaque personnage sont réalisés avec beaucoup de subtilité et d'intelligence. Nous ne sommes jamais perdus au cours de cette narration qui nous dévoile qu'au XIIème siècle une femme pouvait dire « Non » et vivre ses convictions. Je recommande grandement d'aller vivre cette quête au Lucernaire ou par la suite à Avignon !

Un spectacle très réussi. Une comédienne de grand talent qui évolue dans un décor bien pensé . Une mise en scène qui valorise parfaitement ce texte intense .
Nous avons passé une belle soirée .
Bravo 👏🏻👏🏻👏🏻et merci 🙏🏻

Très belle prestation, allez-y sans hésitation

Magnifique interprétation et scénographie pour ce conte mystique a la limite de la legende...
Le spectateur restera juge...
Allez voir ce sublime spectacle

Se laisser porter par la beauté du jeu de Jessica Astier dans une histoire où le mystique et le surnaturel flirtent avec la réalité. Par ailleurs je suis très touchée par la note d'intention du metteur en scène, William Mesguich, en cette période qui tend à rétablir l'équité entre les humains et que l'on peut lire sur le site du théâtre dans le dossier de presse.

Du domaine des murmures est à la croisée d'un conte et d'une légende qui transcende le temps. L'adaptation et l'interprétation rythmée du roman de Carole Martinez par Jessica Astier met en valeur le caractère mystique avec une esthétique certaine, appuyée par un jeu de lumières (William Mesguich) renforçant la délicatesse du récit et le mysticisme qui l'entoure. Le décor est complété par des projections visuelles d'images reconstituant la demeure. De son enfermement naît l'évasion pour cette femme qui échappe non sans douleurs au patriarcat. Un moment aussi magique que spirituel.

Une belle adaptation, un bon rythme et une belle interprétation. Toutefois, j'ai eu du mal avec la mise en scène qui ne m'a pas permis de rencontrer les personnages, mais plutôt de suivre une narration. Compte tenu de la force du propos, j'aurai aimé autre chose, mais c'est très personnel. Bravo pour le travail !

En retrait des hommes pour mieux élever son âme
J'avais découvert "les recluses" par l'intermédiaire de Fred Vargas et son livre au héro "si atypique". Ce conte tout en noirceur, passion et violence est admirablement interprété par Jessica Astier et parfaitement mis en scène par William Mesguich qui en accentue tous les tourments moraux. J'ai apprécié toute l'âpreté de ces déchirements.

Dans un Moyen-âge mystique, Esclarmonde une toute jeune fille refuse le mari que veut lui imposer son père. S'opposant ainsi au patriarcat, elle trouve un destin héroïque rythmé de péripéties et, dans sa réclusion volontaire, suprême paradoxe, elle rencontre la liberté. Elle choisit de s'offrir à dieu mais croise le diable ...
Mise en scène, scénographie, lumières et décors astucieux, bel usage de la vidéo, donnent à ce conte fantastique une réelle élégance et surtout, la comédienne Jessica Astier ne manque pas de talent.

On suit le destin d'Esclarmonde , sublime Jessica Astier, dans l'écrin d'une mise en scène soignée. C'est un conte douloureux où le mystique romanesque se mêle de trivial.

Belle adaptation du livre de Carole Martinez avec une remarquable mise en scène et une performance de Jessica Astier qui nous amène dans ce 12ème siècle. Bravo !