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SHIRLEY THÉÂTRE DU LUCERNAIRE Du mercredi 29 mars au samedi 20 mai 2006
TEXTE(S). Assise au café, Shirley Goldfarb, "peintre et pique-assiette professionnelle" comme elle se définit, noircit ses carnets. Elle nous parle d'une époque, les années 70 avec leur frivolité et leur insouciance, de Paris, de Montparnasse et Saint-Germain-des-Prés, de ses rencontres avec Francis Bacon, ...
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Isabelle K. a écrit le 19/05/2006 à 12h43
Excellent, drôle et émouvant à la fois. Interprétation magnifique de cette actrice qui mérite vraiment un public plus important. A ne pas rater !
Martine F. a écrit le 18/04/2006 à 15h04
Excellente interprétation de cette comédienne qui habite réellement son personnage, spectacle à la fois touchant, réaliste et drôle, parfois caustique. Une évocation parfaite de cette époque et de ce lieu mythique, qui sans être la grande heure de Saint Germain des Prés, nous permet malgré tout d'évoquer des personnages qui ont marqués les années 70. Allez voir et soutenez ce spectacle, qui reste très actuel et moderne, vous ne serez pas déçus...
Gérard S. a écrit le 05/04/2006 à 13h07
Spectacle émouvant, touchant, vrai .. un excellent moment
Un spectacle qui mérite de rencontrer un public plus important (une dizaine de personnes hier seulement)..
Un spectacle qui mérite de rencontrer un public plus important (une dizaine de personnes hier seulement)..
Conny F. a écrit le 02/04/2006 à 12h00
Interprétation très émouvante. La comédienne vit le personnage et l'on ressent une vraie émotion. Spectacle d'une grande qualité.
barth a écrit le 30/03/2006 à 15h09
un tres beau spectacle, on y croit et la comedienne est convaincante et emouvante.
barth
barth
Michel D. a écrit le 30/03/2006 à 13h27
Lucienne Troka nous fait croire à son personnage entre tragédie et comédie, pris au piège de sa propre vie qui est bien sûr aussi un peu la nôtre.Le texte m'a aussi fait penser à du Perrec, il revisite un passé proche allant d'une seconde génération perdue aux effluves de la nostalgie. Un bon moment de théatre qui avait valu un Molière justifié à Judith Magre et cette reprise ne démérite pas puisque le texte et la comédienne sont excellents. Michel Dumolard et Janine Ringuet