un peu refroidi par les commentaires lus ici , je n'y suis allé que parce qu'invité par un ami. Au final, une bonne surprise. J'ai beaucoup aimé , excellent spectacle à recommander!

Excellente revue ! Même si les effets sont un peu trop annonçés... Ils sont tous bien. C'est sincère et l'évocation est originale et pleine de moyens... Un petit CABARET des FOLIES BERGERE.

Heureusement à la fin, on a deux ou trois numéros avec Joséphine...
Texte et histoire inexistants.
Très mauvais, et en prime un Savary mégalo à la fin du spectacle gavant tout le monde, acteurs et spectateurs.
À éviter vivement.

Eh bien, moi j'ai bien aimé la 1ère partie, très hétéroclythe et rythmée, haute en couleurs et en danse. Par contre, attention à être bien placé, une place tout en haut, même au milieu, vous fait rater la 1/2 du spectacle, car vous ne voyez que les têtes devant vous. Donc, à mon avis, 1ère catégorie vivement conseillée et arrivez à temps pour le placement ! Sinon, c'est effectivement un peu stéréotypé; mais excellents musiciens...

Une troupe sympathique et dynamique malgré une première partie de la pièce extrèmement longue par la narration de la situation sur l'esclavagisme, la négritude et l'ouragan Katrina. On cherche Joséphine désespérément dans ce premier tableau. Savary mélange tellement de sujets que le spectateur qui avait dans l'esprit de venir admirer une meneuse de revue reste sur sa fin qui justifierait le titre de ce spectacle. La 2ème partie relève l'ensemble puisque le metteur en scène se concentre sur le personnage principal et cela permet à la première actrice de dévoiler ses talents de chanseuse et de danseuse permettant finalement d'avoir passé un agréable moment, grâce à une mise en scène Savarienne plus musclée en deuxième partie. Stéphane

NAVRANT!

On a connu savary bien plus inspiré ( cabaret..)la premiére partie est très plombée par katrina et beaucoup trop illustrative, dans le genre "je vais vous raconter l histoire du peuple noir: au début étaient les esclaves..." et chaque tabeau de correspondre aux images attendues...heureusement on oublie les "boatpeople" dans la deuxiéme partie avec l'éclatante joséphine finement interprétée, l indétrônable dussarat dont les jambes feraient pâlir d envie marléne dietrich et des numéros de cabaret un rien désuets mais moi j 'aime bien les plumes!

Amateurs de Savary, courez-y. Tout y est, la danse (une mention spéciale pour la danseuse étoile), le chant, les bons sentiments, l'humour, la fantaisie et l'insolence. Savary en fait beaucoup, c'est sûr, mais ... moi j'aime ça, et visiblement le public aussi.

NAVRANT !!!
L'histoire de l'esclavage mal racontée, pretexte à des tableaux sans interet, sur un défilé d'images de la catastrophe de l'ouragan Katrina, le tout agrémenté de jeux de mots ridicules (du genre "j'ai deux amours, mon pays est pourri" : sic!). Voila le contenu de la premiere partie, qui doit durer environ une heure !!!
Nous n'avons pas eu la force de rester pour le suite.
Il y a longtemps que je n'ai vu un spectacle aussi mauvais ...

Un très joli spectacle pour découvrir Josephine Baker; mais pas uniquement... presque toute l'histoire de la musique noire américaine nous est racontée. Un très bon moment pour un très joli spectacle. A voir ! PS: je crois que j'ai eu la chance d'échapper à Jérôme Savary, je ne l'ai pas vu sur scène à la fin du spectacle comme d'autres !

Difficile de ne pas avoir envie de battre le rythme avec les mains ou avec les pieds, de ne pas être fasciné par le talent des jeunes danseurs et chanteurs, et de ne pas être touché par le jeu des acteurs plus âgés. Le spectacle n'est pas uniquement centré sur Joséphine Baker mais la promo et le résumé qu'en faisait entre autre Starter étaient assez explicites. Oui la mise en scène sent parfois le déjà vu, l'humour est de temps en temps facile, voir lourd, et Jérôme Savary peut agacer par son intervention à la limite du cabotinage; il n'en demeure pas moins qu'il y a quand même beaucoup de talent, d'énergie, et de plaisir à ne pas bouder dans ce spectacle. Nous avons assez facilement et simplement découvert plusieurs faits au travers de situations et de mots qu'il n'est pas inutile de voir et d'entendre encore aujourd'hui.

Entierement d'accord avec Jean Claude O; nous etions 5 et aucun de nous n'a réussi à entrer dans le spectacle. Un grand bravo à Nicole Rochelle mais malgré son talent je me suis ennuyée.Les decors et les chorégraphies sont très moyen et j'ai trouvé "déplacé" et "pompeux" l'intervention de Jerome Savary à la fin du spectacle.

Je suis daccord avec Lyliane D : voici un spectacle comme il n'en existe (presque) plus. cela faisait longtemps que je n'en avais pas vu de tel.

Looking for Josephine est un peu un fourre tout, on y trouve le Cyclone Katrina, Martin Luther King, le Ku Klux Klan, du jazz, du godspel, mais il faut attendre le milieu de la seconde partie pour que Josephine paraisse vraiment et qu'elle chante quelques chansons dans une mise en scène répétitive.
Michel Dussarat (toujours excellent), en meneur
de jeu (tiens cela rappelle quelque chose), le même en guépière et en bas résille (déja vu ), et Jérome Savary qui vient nous faire son discours à la fin et nous souffler un petit coup de trompette là encore déja vu.
Les chanteurs et les danseurs sont excellents et Nicole Rochelle est parfaite en Joséphine mais cela ne suffit pas
Visiblement les spectateurs sont très contents, le spectacle marche très fort, mais quant à moi je me souviens d'une "Mistinguett" autrement mieux réussie,
et vous encourage à aller plutôt aux Folies Bergères voir Cabaret

Première partie un peu faible. On tarde à se mettre dans le spectacle dont la seconde partie est, après l'entracte, enfin à la hauteur du talent de Savary.
Encore un coup Jérôme ! Fais-nous rêver et emmène-nous au paradis du Magic circus.

Encore une fois bravo Mr Savary!
Nicole Chapelle est brillante ( une voix ! un sourire! un physique...)
Belle approche tout en légèreté sur un sujet qui l'est moins, le long voyage des esclaves noirs.
Du naturel et du talent!

Une merveilleuse réussite : Jérôme Savary nous offre un spectacle comme il n'en existe (presque) plus. Dans le cadre du centenaire de la naissance de Josephine Baker, il lui rend un magnifique hommage, au travers d'une fable musicale qui retrace toute l'histoire du jazz avec des moments de grandes émotions sur le drame récent de la Nouvelle-Orléans (l'ouragan Katrina); mais aussi sur l'Amérique des années 1956, où régnaient d'implacables lois ségrégationistes. Le fidèle "Dudu" (Michel Dussarat) est le seul personnage "blanc" au milieu d'une troupe entièrement composée de comédiens et de danseurs noirs. Producteur de spectacles, il cherche une danseuse pour incarner Josephine... C'est un spectacle complet (danse, chant, claquettes, comédie) avec de vrais musiciens dans la fosse d'orchestre. Partez vite à la recherche de Josephine !

Une info complémentaire pour ne pas vous faire surprendre : le jeudi, le spectacle est en anglais (sauf pour la première le 23/11)