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(6 notes) MANUFACTURE DES ABBESSES Du jeudi 1 février 2007 au mercredi 24 mai 2023
COMÉDIE DRAMATIQUE. C'est toujours drôle quelqu'un qui tombe, ça fait toujours rire. Pourtant ce n'est pas très drôle; La personne se fait mal mais nous, nous rigolons, nous rigolons vite, de peur d'avoir à en pleurer. LA TOUR DE PISE, c'est l'histoire d'une femme qui a peur de tomber, parce qu'elle a le sens du ridi...
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Notes des adhérents
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Pascaline L. a écrit le 01/05/2023 à 13h28
Note =
Mise en scène et chorégraphie très originales qui mettent l'actrice en abysses et la force à l'introspection pour gérer ses peurs et phobies, avec sa force intérieure qui émerge peu à peu !
Cependant quelques longueurs et des thèmes superficiellement suggérés ! Trop n'est pas synonyme de profondeur !
Cependant quelques longueurs et des thèmes superficiellement suggérés ! Trop n'est pas synonyme de profondeur !
Brigitte S. a écrit le 30/04/2023 à 11h12
Note =
Déséquilibre de souffrance
Elle est perdue et désespérée cette jeune femme. La peur ponctue sa vie, la façonne, la faisant osciller et pencher de l'inquiétude à la souffrance. Cette intolérable solitude qui la ligote à côté de son entourage qui ne voit pas, ne comprend pas... Un grand moment d'abandon, mené avec finesse, sensibilité et sincérité par une actrice exceptionnelle.
Elle est perdue et désespérée cette jeune femme. La peur ponctue sa vie, la façonne, la faisant osciller et pencher de l'inquiétude à la souffrance. Cette intolérable solitude qui la ligote à côté de son entourage qui ne voit pas, ne comprend pas... Un grand moment d'abandon, mené avec finesse, sensibilité et sincérité par une actrice exceptionnelle.
Jean-François Fouque (j2f.) a écrit le 28/04/2023 à 16h47
Note =
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Une très belle qualité d'interprétation,
qui oscille entre force et déséquilibre,
dans l'ambiance du clair-obscur de la
scénographie. Toutefois, je suis resté
hermétique aux non-dits du texte, qui
s'éclairent un peu vers la fin...
.
j2f.
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Une très belle qualité d'interprétation,
qui oscille entre force et déséquilibre,
dans l'ambiance du clair-obscur de la
scénographie. Toutefois, je suis resté
hermétique aux non-dits du texte, qui
s'éclairent un peu vers la fin...
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j2f.
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Annie C. a écrit le 28/04/2023 à 14h25
Note =
Une femme avec son sac à main en équilibre sur une planche à la recherche d'absolu se heurte à la réalité de la vie et finit par trouver sa place et s'épanouir.
Maud P. a écrit le 28/04/2023 à 11h57
Note =
Cette jeune femme, prisonnière de ses angoisses et de ses phobies, juchée sur ce plongeoir, espace réduit et mouvant, nous touche et nous interpelle.
Va-t-elle s'élever ou plonger ?
La chorégraphie et la scénographie de Karine Dedeurwaerder, à la mise en scène, subliment ce texte, interprété par Fanny Soler.
A voir !
Va-t-elle s'élever ou plonger ?
La chorégraphie et la scénographie de Karine Dedeurwaerder, à la mise en scène, subliment ce texte, interprété par Fanny Soler.
A voir !
Oana C. a écrit le 27/04/2023 à 15h30
Note =
Qui est ce mystérieux interlocuteur à qui s'adresse cette femme dans la pénombre, juchée sur un plongeoir en forme de planche à repasser, symbole si l'on veut d'une vie rangée ? Dieu, un ami, un inconnu, son psy ? un pompier venu la secourir du toit d'un immeuble en flammes ? une personne bienveillante ou manipulatrice ? ou encore quelqu'un d'autre, auquel pensait Karine Dedeurwaerder pour sa subtile mise en scène qui nous laisse suspendus entre ciel et terre et devant tous les possibles. Si la jeune femme doute qu'on puisse faire une histoire de sa vie, la quête de cette identité ouvre un abîme vertigineux de suppositions. Les panneaux Dibond scintillent de lumières et de silhouettes et font miroir aux alouettes, le sens miroite comme du vif-argent et perce toutes les raisons de souffrir et de désespérer. Et le plongeoir serait alors une planche de salut. Purement sublime !
