Soirée du 30/09/2024
FIN DU DÉBUT (LA)
Solal Bouloudnine raconte la fin de toute chose comme s'il jouait une partie de tennis. Les mots se cabrent, ses histoires s'entrechoquent. En scrutant les pleins et les déliés de tous ses malaises, il les renvoie avec son revers rapide, ses angoisses toujours galopantes sous l'autodérision.
Mais oui ! Tout s'explique maintenant : Solal tient des Chiens de Navarre ! Derrière ce qui serait une simple ligne de son parcours, il y a ce label, celui de l'excellence et de l'appartenance à une caste de l'humour et de l'esprit.
Solal définit la fin non pas par ce qu'elle est, mais par ce qu'elle fait. Mais que fait la fin ? Elle fait la différence. Ou plus exactement, elle fait les différences. Et Solal les marque somptueusement, par l'humour. On rit tout son soûl, on rit de tout ce qui nous fait mal, de tout ce qui nous a fait pleurer, de tout ce qui se dérobe, de la lumière qui s'éteint. C'est une hasardeuse démarche, peu sont à réussir si brillamment. D'avoir à ce point exhorté la vie. Oana - Adhérente +
Mais oui ! Tout s'explique maintenant : Solal tient des Chiens de Navarre ! Derrière ce qui serait une simple ligne de son parcours, il y a ce label, celui de l'excellence et de l'appartenance à une caste de l'humour et de l'esprit.
Solal définit la fin non pas par ce qu'elle est, mais par ce qu'elle fait. Mais que fait la fin ? Elle fait la différence. Ou plus exactement, elle fait les différences. Et Solal les marque somptueusement, par l'humour. On rit tout son soûl, on rit de tout ce qui nous fait mal, de tout ce qui nous a fait pleurer, de tout ce qui se dérobe, de la lumière qui s'éteint. C'est une hasardeuse démarche, peu sont à réussir si brillamment. D'avoir à ce point exhorté la vie. Oana - Adhérente +