Connexion : Adhérent - Invité - Partenaire

Photo: D.R.

Public
Averti
Sujet
Difficile
Convient aux ados
Oui

AU NOM DU CIEL
(moyenne sur 9 notes)

THÉÂTRE CONTEMPORAIN de et mis en scène par Yuval Rozman, avec Poline Baranova Kiejman, Gaël Sall et Gaëtan Vourc’h.
Après Ahouvi en 2023, l’artiste d’origine israélienne Yuval Rozman aborde le quatrième opus de ce qu’il nomme la Quadrilogie de ma Terre, une œuvre passionnante qui aborde le lien avec son pays natal et le conflit israélo-palestinien. Dans cet ultime épisode, il prend du recul ou, plus exactement, de la hauteur, mettant en jeu le point de vue de trois oiseaux qui, depuis la canopée, s’interrogent… Dans le ciel de la Cisjordanie, les volatiles enquêtent sur l’assassinat d’un jeune Palestinien autiste de 32 ans, tué par la police israélienne en2020. De cet événement tragique, Yuval Rozman compose une comédie noire où la parole des oiseaux tente d’explorer la complexité du drame, sous un angle aérien et symbolique, pour comprendre, avec esprit et humour, la folie des hommes.
Réserver des places
THÉÂTRE DU ROND-POINT
2 bis, avenue Franklin-Roosevelt
75008 PARIS
M° Franklin Roosevelt
Tél: 01 44 95 98 21
Web: www.theatredurondpoint.fr

 > Plan d'accès (Google Maps)
 > Plan du métro (RATP)
Voir tous les détails
CONDITIONS GRAND PUBLIC
Jusqu'au 20/12: du Mardi au Vendredi à 21h00, le Samedi à 20h00. Places de 12 à 33€. Durée 2h00.

Mer
17/12
Jeu
18/12
Ven
19/12
Sam
20/12
21h00
21h00
21h00
20h00
CONDITIONS ADHÉRENTS
Pour voir les conditions sur ce spectacle et réserver, connectez-vous avec votre compte.
Accès adhérent

VOUS N’ÊTES PAS ENCORE ADHÉRENT ?
Renseignez vous sur « Les services offerts » ou appelez-nous au 01 43 72 17 00 et profiter d’invitations et/ou de tarifs réduits (jusqu'à -70%) sur tous nos spectacles.
Voir comment adhérer
Notes des adhérents
1
4
2
1
1
Derniers commentaires des adhérents
Sandra N. a écrit le 15/12/2025 à 17h24

  Note =
Une mise en scène originale pour essayer d'offrir un autre point de vue du conflit. La vision des oiseaux se transforme finalement en une analyse très humaine et classique. Des longueurs surtout quand il n'y a que 2 oiseaux au démarrage.
Les costumes sont sublimes et le personnage de Martinet excellent.
Bernard B. a écrit le 15/12/2025 à 11h38

  Note =
Tout en se plaçant à hauteur de vue d'oiseaux, et maniant l'humour, pour parler avec distance d'une situation dramatique, cette pièce intéressante, non manichéenne, et qui arrive à faire rire, n'en montre pas moins l'existence en Cisjordanie d'un système de sécurité israélien fou qui aboutit à ce drame insensé, le meurtre d'un palestinien autiste se rendant à son centre de soins, et ce sans aucune conséquence pénale ou administrative pour les militaires et policiers qui en sont les protagonistes. Cependant, la pièce aurait gagné à éviter les redites et être plus courte.
Denis N. a écrit le 13/12/2025 à 18h36

  Note =
Au nom de dieu, la folie des hommes...
Une pièce typique Rond-point, une mise en scène osée et pour moi réussie avec ces drôles de volatiles sortis de nulle part qui essaient de prendre de la hauteur devant l'événement... Moins pour le traitement du sujet avec la narration x fois répétée de ce fait divers sensible et malheureux étirant la pièce un peu trop longtemps. Malgré tout je ne me suis pas ennuyé et ne regrette pas.
Annie C. a écrit le 11/12/2025 à 11h31

  Note =
Une mise en scène aérienne agrémentée de très beaux plumages. Yuval Rozman s'attaque à un fait divers dérangeant avec beaucoup d'objectivité ce que j'apprécie beaucoup car c'est courageux de sa part.
Ce choix des oiseaux que nous imaginons libres et sans contraintes donne à réfléchir. Des rires sont apportés par ces volatiles qui vivent leur vie et allègent le côté pesant du thème.
Oana C. a écrit le 11/12/2025 à 08h19

  Note =
Du haut du ciel, dans une position surplombante et bienveillante par rapport au monde des humains, les trois oiseaux de Yuval Rozman revêtent les ailes du désir des anges : ils observent les hommes "d'en haut", en témoins silencieux ou perplexes, capables de voir la souffrance humaine avec une lucidité que les humains eux-mêmes n'ont pas. Dans l'incapacité à intervenir directement - ce qui renforce le sentiment d'impuissance face au destin tragique des hommes - ils ne peuvent que commenter ou enquêter symboliquement. Ce sont des oiseaux ambivalents, parfois ironiques ou maladroits, souvent primesautiers et dans l'autodérision, et leur regard dévoile autant qu'il dénonce l'absurdité et la violence du monde; tout en y laissant passer, comme une lumière fragile, une part de consolation. Par leur liberté et leur distance poétique, ils deviennent une sorte de médiateurs entre le réel et une forme de transcendance - bien au-delà d'une justice confinée dans une dérisoire boîte de kebab.
Voir tous les commentaires
Les adhérents qui ont réservé ce spectacle ont également réservé :