très belle mise en scène avec une très grande Marianne Basler; texte toujours d'actualité

pièce très bien jouée
une plongée totale dans l'œuvre de Sartre

Très belle mise en scène épurée qui nous fait re-découvrir le texte. Ce soir c'était Guillaume Marquet qui interprétait Garcin., il est sensationnel même si j'étais venue pour D'aboville. Marianne Basler est époustouflante.
Conditions Starter pas intéressantes

"Huis-clos" propose une version contemporaine de la célèbre pièce de Sartre. La pièce est ici représentée dans un décor dépouillé et stylisé. Elle révèle un texte audacieux pour l'époque, mais surtout un trio de comédiens extrêmement talentueux. Jean-Louis Benoît, avec cette mise en scène, réussit adroitement à provoquer le malaise : ainsi, quand les comédiens regardent le public d'un air fixe et insistant, le spectateur est mis - volontairement - dans une posture inconfortable. "L'enfer c'est les autres" est donc bien illustré, autant sur scène que dans le public !

très bons comédiens

Quel bonheur de retrouver ce texte parfois aride dans un spectacle si bien joué ! découverte de Guillaume Marquet dans le rôle de Garcin.

Vu en classe, il y a bien longtemps...
une piqure de rappel bienvenue...
des acteurs formidables, une mise en scène un peu sage mais bon moment

Excellente interprétation des trois acteurs ...Belle métaphore de notre existence ...

Très bien

Grâce à Maxime d'Aboville et à Marianne Basler, j'ai eu l'impression de redécouvrir cette pièce.

C'est toujours une réelle satisfaction de retrouver cette pièce de Sartre.
Ce théâtre là se donne au compte-gouttes et s'apprécie de même.
On peut l'aborder sans connaitre l'existentialisme mais comme aurait dit Jankelevitch "c'est moins bien".
Dans cet enfer, d'où les miroirs sont absents, c'est le regard de l'Autre qui en fait office. Mais si c'est lui qui nous renvoie ce que nous sommes, si de ce fait, il peut nous enfermer, où réside notre liberté? Subsiste-t-elle?
Oui, nous répond Sartre : en commençant par accepter notre histoire et ce que nous sommes et si nous ne pouvons pas effacer nos actes, nous pouvons poser d'autres actes.
Qu'apporte cette nouvelle reprise . Honnêtement rien de nouveau. Les comédiens sont de qualité mais, hors Marianne Basler vibrante de lucidité et de méchanceté affichée, pas transcendants. Mais après tout, l'enfer est peuplé de gens ordinaires.
La mise en scène, rien d'exceptionnel non plus, simplement respectueuse.
Reste le texte de Sartre, intemporel, réduit à l'essentiel et d'une puissance qui étonne toujours, même en le connaissant par cœur.

Se (re-)plonger dans les souvenirs de classe terminale et se laisser embarquer par ces excellents acteurs pour un "Huis-clos" sensationnel.

.
Souvent enthousiasmé, par les pièces
de Jean-Paul Sartre, ou les textes tels
que "Le Mur", "Huis Clos" me laisse, à
nouveau dubitatif, et ce malgré toutes
les qualités d'interprétation et de mise
en espace de cette version...
.
j2f.
.

Très belle interprétation pour cette pièce de Sartre qui n'a pas pris une ride.

magnifique interprétation avec une mise en scène épurée, histoire originale et décalée mais originale

Une très belle surprise pour cette reprise de Huit clos de Jean Paul Sartre qui est très actuel....
Décor des plus épuré et jeu de lumiere accompagnent la superbe interprétation des acteurs que nous avons eut la chance de rencontrer à l'issue de la représentation
Merci à L'atelier pour ce bon moment de théatre

Chaleur de cloporte et un bronze sur la cheminée, trois canapés dépareillés plus une sonnette à l'état normal en panne : on se croirait en visite chez tante Marie. Sartre ne manque pas d'humour dans son préambule de l'enfer. Lieu exigu et porte fermée deviennent porte-paroles de cet enfer(mement) où tout semble régi par le conflit et l'abime de l'autre, dans sa dimension la plus dégradée. "Je ne suis que cette pensée incolore qui te pense", et ils auront l'éternité pour se penser l'un l'autre.
Nous sommes entre morts de bonne compagnie, leur rencontre improbable et l'impossible lien prendront des allures de cercle infernal. L'intensité sardonique des trois comédiens vivifie le texte, leur diabolique osmose touche à l'excellence. Après le Huis clos de ce soir, il me sera difficile d'en aimer un autre.

Une excellente interprétation de ce Huis Clos mis en scène par J.L. Benoit. Ce texte avant gardiste à sa création n'a pas pris une ride.

* mon choix : pour retrouver le texte et aussi voir et entendre les acteurs M.D'Aboville et M.Basler. Pour compléter ce trio infernal à l'entente impossible et au chatiment éternel, une jeune et brillante actrice M.Charbonneaux Découvrir ou (re)voir ce HUIS CLOS un intéressant moment de théatre.
*Apprécié le texte vif et acéré entre les 3 protaginistes. Mon attention fut totale durant tout le spectacle. J'avais sous estimé le rôle d'Estelle mais M.Charbonneaux en fait un personnage plein de vitalité. BRAVO aux comédiens et au metteur en scène
Elisabeth invitée Starter

Ce qui n'avait été qu'une hypothèse du vivant de Jean-Paul Sartre, étant devenu par confinement imposé une réalité in situ et intra muros, la célèbre phrase de cette pièce « L'ENFER, C'EST LES AUTRES » fera désormais un véritable écho au vécu de chacun ! Prémonitoire !

Huis clos très bien établi à l'Atelier. Mise en scène Benoîte et acteurs d'enfers.

Avec ce texte brillant, ces excellents acteurs et les très bonnes critiques de la presse, le risque pris à aller voir la pièce n'était pas immense.
Effectivement un grand moment de théâtre et, fait rare actuellement, l'orchestre était plein ce soir.
Hélas ! quand on a de longues jambes, il faut s'installer aux extrémités de la salle pour ne pas souffrir. Pourtant le théâtre privilégie les spectateurs Starter en les plaçant au 5ème rang.

Ce fascinant texte de Sartre dans une mise en scène moderne et réussie de Jean Louis Benoit . Quand l'éternité s'avère impossible. On se délecte de ce trio parfois cynique, tendu et délicieux . Bravo à Maxime d'Aboville et Marianne Basler . A voir absolument 🤗

J'ai passé une bonne soirée, les acteurs sont très bons et nous entrainent dans ce combat des sentiments. Pas de surprise sur le texte fidèle à J.P. Sartre.