bon spectacle

Vraiment Très bien joué, mais pas convaincue par l histoire.

Divertissement bien joué et mis en scène mais intérêt limité pour cette histoire de domestiques qui aident un auteur à trouver la fin de son roman en le jouant. Chaleur étouffante de la salle.

Un auteur misogyne décide de modifier son texte et imagine diverses possibilités. La mise en scène inventive est soignée, les comédiens façon comedia del arte s'exécutent avec talent. Une pièce originale que j'ai eu plaisir à regarder.

Spectacle original et inattendu, décor également. Jeu des acteurs excellent, plein de rebondissements. Une très belle découverte théâtrale

Thème de la pièce original et intéressant, mise en scène travaillée et bien ficelée, les acteurs sont investis
Nous avons passé un bon moment.

Les apparences sont parfois trompeuses et c'est loin d'être un sujet facile qui est abordé dans cette pièce ! Au premier abord, on imagine qu'il s'agit juste des rapports qu'entretient un écrivain avec ses personnages. Mais au fur et à mesure ou se déroule l'intrigue, on constate que le sujet traité est bien plus profond qu'il n'y paraît et c'est là toute la force de cette pièce ! A vrai dire, pendant le spectacle, j'imaginais déjà la fin avec un infirmier psychiatrique qui arrive sur scène pour dire à l'Auteur qu'il était temps d'aller se coucher, car ici on flirte entre schizophrénie et surréalisme. De l'Autre côté du miroir, c'est un peu l'histoire d'Alice au Pays des Merveilles mais c'est avant tout l'autre côté de l'Âme humaine et c'est parfaitement traité ici ! La troupe nous fait vivre des situations invraisemblables qui mettent en avant délires et hallucinations et pourtant, comme dans un rêve, tout s'imbrique et s'enchaîne ! Assurément une pièce à voir car elle sort des sentiers battus !

Excellente mise en scène pour ce récit qui interroge les rapports de l'écrivain avec ses personnages.

Qui est le personnage de qui ? Et qui a le droit de vie et de mort sur les autres ? Dans quel sens va la création et quel est son sens ? Ces personnages semblent ne pas mériter leur auteur mais, à la fin, qui est l'auteur ?
Le bateau de la création tangue et la révolte s'installe à bord. L'auteur joue avec ses personnages, les maltraite et fait du dressage comme s'ils étaient des bêtes de foire. Et si les personnages étaient plus que des outils de travail ?
Valérie Mastrangelo se revendique plus de Fellini que de Pirandello dans ce huis clos qui demande du talent pour faire mourir une part de son oeuvre et où deus ex machina se trouve là où on ne l'attendait pas.

Qui mène le bal ?
Un écrivain convoque ses personnages pour déterminer qui il doit "sacrifier". On se trouve donc au coeur du débat car qui mène le bal ? Le "créateur" qui a engendré "ses sujets" ou la fiction qui finit par prendre possession de son imaginaire et même de sa vie ?