La pièce à commencé avec 45 minutes de retard sans aucune ex usés. Pas mal mais beaucoup trop de longueurs.

Selon la note d'intention, ni "théâtre documentaire", ni "théâtre militant", en effet Estelle Savasta écrit une histoire de reconstruction après le désastre, incarnée dans trois personnages essentiels, Nora, Ariane et Nino, magnifiquement interprétés d'ailleurs, et ainsi que dans les divers protagonistes de l'aide sociale à l'enfance. .
Nul pathos mais une douce palette d'émotions, dont la tendresse, l'amitié, la joie et une belle dose d'humour, voir la jubilatoire description de la Cène !
Une pièce passionnante qui éclaire ce système en déréliction, l'ASE, tellement invisibilisé malgré les carences et les drames révélés par les media.
À ne pas manquer.

Très bien jouée et mise en scène, cette belle pièce intéressante, est touchante sans tomber dans le pathos.

Cette pièce n'est pas une radioscopie de l'organisation des services de l'Aide Sociale à l'Enfance (ASE), bien que nous en percevions les rouages. C'est l'histoire singulière de Nora confiée à l'ASE, qui malgré ses souffrances et les épreuves, rebondie toujours, usant de ses capacités de résilience pour vivre des moments joyeux.
Les comédiens restituent avec talent les moments de tendresse, d'amour, d'amitié ou de déceptions et la poésie n'est pas loin avec les arabesques chorégraphiques de M Thiollier Serrano. Le rire fuse parfois, comme lors de la présentation par les 2 adolescentes de "La Cène" de Léonard de Vinci à leur professeur d'Arts Plastiques.
Un spectacle plus doux que ne l'aurait laissé penser le pitch.

La pièce la plus bouleversante que j'aie jamais vue. On rit, on pleure, on aimerait que ça ne se termine jamais.
Des acteurs capables de passer du comique au tragique nous entraînent dans des émotions parfois presque insoutenables.
Je suis sortie sonnée et heureuse de l'être.
Merci, merci!
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Sujet d'une réalité indiscutable et qui passe bien souvent sous nos radars de spectateurs pourtant avertis.
Les acteurs donnent toutes leurs tripes et l'émotion grandit sans cesse, parsemée de rires aussi, à l'image des vagues de la vie.