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(23 notes) THÉÂTRE DES GEMEAUX PARISIENS Jusqu'au vendredi 6 février 2026
THÉÂTRE CONTEMPORAIN à partir de 12 ans. Le roi Bérenger ne veut pas le reconnaître, il va mourir.... Son royaume se dégrade et malgré l'accompagnement de ses deux reines et de son entourage, il enrage. Voici le parcours de cet homme jusqu'à la fin, de son pouvoir, de sa vie, de Tout... Avec ce texte devenu classique, Ionesco nous offre ...
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Notes des adhérents
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Sylvain F. a écrit le 16/12/2025 à 10h14
Note =
Temps suspendu pendant cette pièce où le roi n'en finit pas de mourir. Parabole absurde de plusieurs thèmes qui nous préoccupent (nos dirigeants, notre planète, notre mort inévitable). J'aurai bien vu une mise en scène un peu plus étoffée (lumière, accessoire, effet sonore restent sommaires)
Elisabeth J. a écrit le 15/12/2025 à 21h31
Pièce très bien jouée avec un beau décor
Chantal L. a écrit le 08/12/2025 à 11h54
Note =
Très belle interprétation de cette pièce de Ionesco pleine à la fois d'humour et d'émotion ! Nous avons tous beaucoup aimé !
Odile B. a écrit le 07/12/2025 à 17h32
J'ai adoré. Texte fataliste et absurde magnifiquement joué.
En fonction de nos âges ou de nos visions de la mort, il peut particulièrement résonner.
A voir et à lire ou relire...
En fonction de nos âges ou de nos visions de la mort, il peut particulièrement résonner.
A voir et à lire ou relire...
Florence L. a écrit le 07/12/2025 à 10h11
Très bon Ionesco fort bien interprétés par des comédiens de talent. On passe un moment hypnotique
Dominique P. a écrit le 07/12/2025 à 08h00
Du beau du bon théâtre absurde comme tout ce qu'a écrit Ionesco
Charlotte D. a écrit le 03/12/2025 à 20h38
Note =
Moins absurde que le reste des pièces de Ionesco. J'ai bien aimé la mise en scène et l'échange qui a suivi avec les acteurs.
Colette B. a écrit le 02/12/2025 à 12h51
J'ai beaucoup aimé la distribution des rôles très bien interprétés. Le roi n'attire pas seul l'attention et la mise en scène efficace sert tous les acteurs J'ai préféré cette représentation a celle ou le magnifique Michel bouquet attirait toute l'attention
Pascale B. a écrit le 30/11/2025 à 18h25
Excellente interprétation et mise en scène remarquable, à ne pas rater !
Dominique A. a écrit le 28/11/2025 à 00h04
C'est une fable philosophique dont la mise en scène est claire : elle ne nous permet pas de distance entre ce roi qui refuse sa fin et nous, spectateurs mortels.
Philippe A. a écrit le 27/11/2025 à 22h44
Mise en scène moderne et surprenante
Des actrices et acteurs qui se donnent à fond
Ce classique avec un côté loufoque
Mérite d'être encouragé
Des actrices et acteurs qui se donnent à fond
Ce classique avec un côté loufoque
Mérite d'être encouragé
Gilbert P. a écrit le 26/11/2025 à 10h20
Note =
Les comédiens sont magnifiques et que dire de la mise en scène de Christophe Lidon !!!
Il faut courir voir ce spectacle écrit par Ionesco en 1962 et qui résonne étrangement avec notre époque
Il faut courir voir ce spectacle écrit par Ionesco en 1962 et qui résonne étrangement avec notre époque
Xavier C. a écrit le 20/11/2025 à 13h25
Note =
Redécouvrir Ionesco avec une mise en scène moderne à la Enki Bilal et des acteurs émouvants. Allez y c'est réussi !
Géraldine G. a écrit le 20/11/2025 à 12h29
Nous avons assister à une représentation, très bien jouée, je ne connaissais pas ce texte personnellement, c'est une belle découverte.
De plus, nous avons pu rencontrer les acteurs à l'issu de la représentation, c'était très agréable
De plus, nous avons pu rencontrer les acteurs à l'issu de la représentation, c'était très agréable
Oana C. a écrit le 20/11/2025 à 09h30
Quand le roi se meurt, tout l'univers du roi se désagrège : le royaume, la nature, les lois physiques, le temps. Le roi Bérenger combat, lutte, négocie avec la mort : il est en guerre contre l'inexorable.
Dans une scénographie de "fin de partie" qui évoque un bunker, la mise en scène de Christophe Lidon renforce l'idée que le roi est "encerclé" par sa propre fin, qu'il se replie dans un espace clos où il tente de résister à ce qui l'envahit : la mort, le chaos. Image d'une dernière forteresse, d'une défense qui s'effrite, le décor donne l'impression d'être enterré, emmuré, sans fenêtres et sans horizon ; il matérialise la claustrophobie existentielle et rend perceptible l'impossibilité d'échapper à sa condition. Dans ce lieu clos, sans échappatoire, qui à la fin ne protège plus de rien, le roi entame une guerre intérieure.
Les images du bonheur passé, portées par Marie, l'assaillent comme la dernière bougie qu'on essaie d'allumer malgré le manque d'oxygène. Les vérités froides de Marguerite empêchent les illusions lumineuses de briller, elles éteignent la lumière dans le bunker. Les comédiens, tous remarquables, impulsent au texte de Ionesco une cadence soutenue, à la progression implacable. Cette 'chose' qui avance sans s'arrêter, impossible à ralentir, impitoyable, en révèle toute la nervosité et l'urgence, vous prend aux tripes.
Dans une scénographie de "fin de partie" qui évoque un bunker, la mise en scène de Christophe Lidon renforce l'idée que le roi est "encerclé" par sa propre fin, qu'il se replie dans un espace clos où il tente de résister à ce qui l'envahit : la mort, le chaos. Image d'une dernière forteresse, d'une défense qui s'effrite, le décor donne l'impression d'être enterré, emmuré, sans fenêtres et sans horizon ; il matérialise la claustrophobie existentielle et rend perceptible l'impossibilité d'échapper à sa condition. Dans ce lieu clos, sans échappatoire, qui à la fin ne protège plus de rien, le roi entame une guerre intérieure.
Les images du bonheur passé, portées par Marie, l'assaillent comme la dernière bougie qu'on essaie d'allumer malgré le manque d'oxygène. Les vérités froides de Marguerite empêchent les illusions lumineuses de briller, elles éteignent la lumière dans le bunker. Les comédiens, tous remarquables, impulsent au texte de Ionesco une cadence soutenue, à la progression implacable. Cette 'chose' qui avance sans s'arrêter, impossible à ralentir, impitoyable, en révèle toute la nervosité et l'urgence, vous prend aux tripes.
Laure S. a écrit le 20/11/2025 à 08h53
Ionesco toujours aussi actuel avec l'effondrement du royaume du roi qui se meurt... Toutes comparaisons avec notre monde restent le choix de chacun...
Belle et juste interprétation des acteurs et scénographie très réussie.
Belle et juste interprétation des acteurs et scénographie très réussie.
Clara M. a écrit le 20/11/2025 à 00h34
Angoisse, fragilité de qui doit renoncer au pouvoir et plus encore à la vie ! Car oui, même les rois meurent et ce n'est pas chose facile ...
Plus que l'humour cruel cher à Ionesco pour contourner l'absurde de la condition humaine, c'est l'atmosphère fin de règne et l'émotion qui m'ont surtout séduite dans cette mise en scène très équilibrée de Christophe Lidon. Excellente interprétation, tout en nuances, mention spéciale à Valérie Alane, splendide Reine Marguerite.
Plus que l'humour cruel cher à Ionesco pour contourner l'absurde de la condition humaine, c'est l'atmosphère fin de règne et l'émotion qui m'ont surtout séduite dans cette mise en scène très équilibrée de Christophe Lidon. Excellente interprétation, tout en nuances, mention spéciale à Valérie Alane, splendide Reine Marguerite.
Antoine G. a écrit le 19/11/2025 à 23h14
Échecs d'un roi, parfois cavalier, qui perd les rênes entouré de ses pions en atours et ça le rend fou.
Annie C. a écrit le 14/11/2025 à 08h21
Une mise en scène dynamique où l'on rit beaucoup, surtout au début. L'absurde est là, bien rendu. Oui bien sûr il va mourir, ce n'est qu'un homme, mais aussi les éléments. Valérie Alane semble mener ce petit monde de main de maître.
Philippe L. a écrit le 11/11/2025 à 11h19
Bonne mise scène et très bien joué. Nous avôs vu aussi celle de l épée de bois qui était plus brouillon
vv a écrit le 10/11/2025 à 14h25
Il meurt, bien qu'il soit le roi et semble bien petit sur son imposant trône. Cette terrible évidence que reconnait seulement sa 1ère femme, alors que sa seconde épouse chérie se confond dans des minauderies et des actes d'amour qui n'annihileront pas son sort qui est celui de tout un chacun.
Une pièce qui malgré l'apparence absurde des propos, se révèle d'une saisissante réalité quant à l'inexorable déclin de la vie et la petitesse de l'Homme face à ce destin qui le propulse vers la mort. Les échanges, truffés de métaphores sur la fracture brutale qui nous achemine vers la fin, avec une infinie poésie, nous portent, grâce à l'excellent jeu des comédiens, dans un magnifique temps philosophique. Avec cette mise en scène à la fois claire et dynamique où le pathétique côtoie le ridicule , j'ai renoué avec cette pièce de Ionesco.
Une pièce qui malgré l'apparence absurde des propos, se révèle d'une saisissante réalité quant à l'inexorable déclin de la vie et la petitesse de l'Homme face à ce destin qui le propulse vers la mort. Les échanges, truffés de métaphores sur la fracture brutale qui nous achemine vers la fin, avec une infinie poésie, nous portent, grâce à l'excellent jeu des comédiens, dans un magnifique temps philosophique. Avec cette mise en scène à la fois claire et dynamique où le pathétique côtoie le ridicule , j'ai renoué avec cette pièce de Ionesco.
Valerie L. a écrit le 09/11/2025 à 13h14
Heureusement qu'il y a l'absurde, la démesure et le comique de Ionesco pour aborder les différentes étapes d'acceptation de la mort, car comme Bérenger, on n'est jamais prêt à tourner la page... Atmosphère fin de règne. Mention spéciale à l'interprétation radieuse de Valérie Alane, la reine rouge représentant la raison (face à la reine blanche puérile et larmoyante, symbole des plaisirs de la vie).


