Relire Balzac devient une évidence en sortant de ce spectacle ! Est-ce le texte qui porte la pièce ou la pièce qui porte le texte ? Nous avons particulièrement apprécié la mise en scène, les lumières, la musique et la brillante interprétation contemporaines, le jeu talentueux des acteurs. Merci et Bravo à la Tempête pour cette programmation, c'était sublime !

Excellent.

Ce fut un moment réjouissant: le spectacle a commencé à 14h30 dans la salle de restauration et finit à 22h10 !!!
Cette troupe de saltimbanques est pleine d'énergie et de surprise
les comédiens sont excellents , aussi la maîtrise du chant
L'originalité de trois metteurs en scène m'a bien plu , on voit les différentes approches de la mise en scène
C'est vraiment une troupe de grande qualité
Aussi : j'aime la lecture de Balzac
Il fut bien traité je dirai

J ai vu l integrale en 3 spectacles enthousiasmant. Avec les intermèdes on ne voit pas passer les 7 heures. Les acteurs se donnent à fond et on est emporté par l histoire.

La troupe du Nouveau Théâtre Populaire présente une trilogie enthousiasmante autour de la figure de Lucien Chardon de Rubempré, héros des Illusions perdues et de Splendeurs et misères des courtisanes. La bonne idée est d'avoir fait appel à trois metteurs en scène différents pour monter les deux romans de Balzac, chaque spectacle ayant ainsi son propre style. On commence par une opérette avec un ton proche de la farce, on enchaine avec la comédie et l'exubérance de la vie parisienne avant de basculer dans la tragédie, épurée et sombre. Les comédiennes et comédiens sont très à l'aise dans les différents rôles, et ils animent même les intermèdes entre les pièces. Ne pas hésiter à assister à l'intégrale pour vivre une belle expérience théâtrale.

Magnifique réalisation en 3 parties très différentes et complémentaires. Une intégrale a voir sans hésiter

Première partie : mi opérette mi comédia dell'arte, la troupe suit le scénario des Illusions perdues. C'est délicieux.
Troisième partie : Jeux de scène réussis dans une esthétique sombre. L'émotion peine à émerger dans la densité inventive recherchée.