Tous les avis / commentaires
(8 notes) THÉÂTRE DAUNOU Du mercredi 12 mars au samedi 31 mai 2008
SPECTACLE MUSICAL. Joséphine Baker, héroïne de la Résistance, choisit de combattre le racisme et rêve de fraternité universelle. Jo Bouillon, un jeune chef d'orchestre, tente de la convaincre de remonter sur scène. Une histoire d'amour chantée et dansée sur des thèmes et des refrains toujours d'actualité.
|
Marine B. a écrit le 29/03/2008 à 18h48
Note =
Bon au vu de l'enthousiasme des précedentes critiques nous allons essayer de remonter la moyenne. C'est vrai qu'il ne fait pas chaud et que la théatre Daunou a connu des heures plus fastes mais le spectacle (c'est bien le sujet quand même) est bien. Nous y étions pour la première alors forcément ils se rodaient un peu.
Mais il y a du tonus, une vraie histoire et de l'envie (un petit tarif réduit peut aider c'est vrai !)
Mais il y a du tonus, une vraie histoire et de l'envie (un petit tarif réduit peut aider c'est vrai !)
Gilbert D. a écrit le 24/03/2008 à 19h00
Note =
Avec un spectacle sur Joséphine BAKER, nous pouvions imaginer que cela allait déménager et nous éblouir. Et bien tout au contraire : ca rame. Nous sentons de la volonté chez les artistes, mais cela ne passe pas : les textes ne sont pas crédibles, le jeu manque de naturel, c'est pauvre. L'orchestre n'est pas mal, les danseurs sympathiques, mais tout cela sent trop l'amateurisme. Peut-être un bon spectacle de fin d'année scolaire dans l'école du quartier!!!
En sortant, j'ai eu le sentiment d'une opération "Qui veut sauver le théâtre Daunou" : une ruine à la peinture écaillée, amenez un plaid sinon vous allez mourir de froid, et le spectacle n'est pas assez prenant pour nous faire oublier les bruits parasites et grésillements divers.
Dommage, cela aurait pu être sympa.
En sortant, j'ai eu le sentiment d'une opération "Qui veut sauver le théâtre Daunou" : une ruine à la peinture écaillée, amenez un plaid sinon vous allez mourir de froid, et le spectacle n'est pas assez prenant pour nous faire oublier les bruits parasites et grésillements divers.
Dommage, cela aurait pu être sympa.
Thierry D. a écrit le 24/03/2008 à 09h25
Note =
Bof, on a connu Pessis plus inspiré.
Salle non chauffée, couvrez-vous !
Grésillements désagréables dans la sono et ... bruits divers très dérangeants : travaux en cours ? bien utiles vu l'état du théâtre mais inadmissibles pendant le spectacle.
Salle non chauffée, couvrez-vous !
Grésillements désagréables dans la sono et ... bruits divers très dérangeants : travaux en cours ? bien utiles vu l'état du théâtre mais inadmissibles pendant le spectacle.
Claude N. a écrit le 23/03/2008 à 09h05
Note =
Spectacle sympathique mais qui fait un peu amateur...Manque de moyens évident et très lent à démarrer.Un peu trop de texte aussi par rapport à la musique et aux chansons.Encourageons tout de mçeme ce spectacle que nous avons vu devant une salle quasiment vide.
De plus Mme Petitdidier dit dans Rappels avoir fermé son théâtre un mois pour le refaire??? Celà ne se voit absolument pas!!! Dommage; j'aimerais bien savoir ce qui est devenu présentable dans cette relique décrépie??!!!
De plus Mme Petitdidier dit dans Rappels avoir fermé son théâtre un mois pour le refaire??? Celà ne se voit absolument pas!!! Dommage; j'aimerais bien savoir ce qui est devenu présentable dans cette relique décrépie??!!!
Bruno M. a écrit le 20/03/2008 à 22h32
Note =
C'est un spectacle à mourir d'ennui.On regarde la troupe s'agiter sur scène sans entrer une minute dans l'histoire.La mise en scène est ringarde et la comédienne qui incarne Joséphine Baker n'est tout simplement pas le personnage.Bref, une grande déception!
Claudine L. a écrit le 19/03/2008 à 19h52
Note =
Excellente soirée ! Si le spectacle est un peu lent à démarrer, la jeune Aurélie Konaté chante et danse à ravir. Elle rentre dans la peau de Joséphine et alterne les moments graves, les airs de l'époque chantés de sa voix chaude et les danses sensuelles. Sa danse africaine est épatante. Pascal Sual, en Jo Bouillon amoureux transi, apporte légereté, humour et chante agréablement. Bon, ce n'est pas parfait, il y a peut-être un peu trop de texte prêchi-prêcha au détriment des chansons. Mais bon, c'est un défaut français ! L'orchestre swinge, ne gâchons pas notre plaisir ! J'y retournerai avec plaisir pour la pêche que ce spectacle donne.
Eric P. a écrit le 15/03/2008 à 11h18
Note =
Spectacle intéressant. Jo et Joséphine : bien ; les deux danseurs : manque de professionnalisme, l'orchestre : il faut savoir rester à sa place et ne pas jouer "les comédiens" quand on ne l'est pas. Madame Stéphanie Jarre nous a habitués à beaucoup mieux. Bref on sent que tout cela manque de moyens tant de comédiens que financiers. Cela manque d'éclat. et je partage à 300% le commentaire fait par une adhérente au sujet de l'état du théâtre Daunou. C'est impensable ! ! ! !
Lilyane D. a écrit le 13/03/2008 à 18h52
Note =
Après Edith Piaf, une vie en rose et noir, Jacques Pessis, nous offre ce beau spectacle musical et théâtral, consacré à la vie "toutes en couleurs" de Joséphine Baker, première vedette noire consacrée au music-hall dont le destin est à la fois exceptionnel et extraordinairement humain. Exceptionnel, car durant la Seconde Guerre mondiale, elle fut une résistante exemplaire et extraordinairement humain, car elle milita pour de nombreux combats (la fraternité universelle, l'amour de son prochain, la lutte contre le racisme et pour la paix dans le monde). Elle adopta une "tribu arc-en-ciel" de 12 enfants de nationalités différentes. La (jeune) troupe est pleine de d'entrain et de talent (danse, chant). Manque un brin d'émotion. Les quatre musiciens forment un bel orchestre. Ils méritent d'être encouragés. A voir pour découvrir ou redécouvrir JOSEPHINE. Ces quelques lignes qui n'ont rien à voir avec le spectacle, mais qui méritent d'être écrites : il faudrait que Madame Denise Petitdidier, directrice du Th. Daunou, fasse un effort pour entretenir son théâtre qui sent... la poussière et tombe en ruines ! A chaque fois que nous y allons, il y a toujours quelque chose en moins ! Cette fois-ci, la façade avait perdu son enseigne... et gaffe, gaffe en allant aux toilettes de ne pas trébucher sur des marches incertaines. L'absence de numéros sur les fauteuils bringuebalants, pose de sérieux problèmes de placement (mais tout le monde en a bien ri, le jour de la pemière).