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![]() ![]() ![]() ![]() ![]() (14 notes) LA SCALA PARIS Du jeudi 3 avril au samedi 28 juin 2025
THÉÂTRE CONTEMPORAIN. Adèle, journaliste, est mariée à Richard, chirurgien. Ils ont un enfant, Lucien. Ils vivent dans le beau 18ème arrondissement de Paris. Mais Adèle est addicte au sexe. Elle mène une double vie.
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Notes des adhérents
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Catherine S. a écrit le 29/06/2025 à 07h58






Très bien joué, prenant, dérangeant aussi, à voir sans conteste!
Youmna T. a écrit le 26/06/2025 à 23h27
Note =





Touchant, dérangeant, très bien joué.
Aline C. a écrit le 21/06/2025 à 21h50






Il s'agit d'un -presque- seule en scène car l'excellente comédienne habite un monologue de façon très expressive et convaincante, alors qu'il n'y a rien, strictement rien qui vient troubler le spectateur dans cette mise en scène : aucun décors, aucun objet, aucune diversion possible : juste le texte !
Excellente prestation de l'artiste Anne Élodie Sorlin traduisant bien ces infernales pulsions.
Aussi la critique majeure que je ferai repose sur l'incongruité de faire apparaître un mari 15 minutes avant la fin de la pièce ! Il se trouve que c'est l'un des deux adaptateurs du roman, et le metteur en scène... mais pourquoi jouer aussi? Aucune plus value : il bafouille, il ne vit pas son texte, sa présence casse l'atmosphère bâtie par la comédienne. Ce dernier quart d'heure n'apporte rien à l'intrigue dont on devine l'issue sans qu'elle soit explicite.
Excellente prestation de l'artiste Anne Élodie Sorlin traduisant bien ces infernales pulsions.
Aussi la critique majeure que je ferai repose sur l'incongruité de faire apparaître un mari 15 minutes avant la fin de la pièce ! Il se trouve que c'est l'un des deux adaptateurs du roman, et le metteur en scène... mais pourquoi jouer aussi? Aucune plus value : il bafouille, il ne vit pas son texte, sa présence casse l'atmosphère bâtie par la comédienne. Ce dernier quart d'heure n'apporte rien à l'intrigue dont on devine l'issue sans qu'elle soit explicite.
Denis N. a écrit le 15/06/2025 à 18h16






Tout est dit et bien dit dans le commentaire précédent...
En effet l'arrivée du mari tombe à point nommé pour donner un second souffle salvateur à cette bonne pièce qui s'étirait quelque peu. Pour ma part j'ai trouvé que le comédien l'incarnait avec justesse...
En effet l'arrivée du mari tombe à point nommé pour donner un second souffle salvateur à cette bonne pièce qui s'étirait quelque peu. Pour ma part j'ai trouvé que le comédien l'incarnait avec justesse...
Virginie L. a écrit le 06/06/2025 à 12h05






Je n'ai pas lu le roman mais cette femme en proie à une sexualité compulsive, tiraillée entre ses pulsions et le carcan des injonctions sociales m'a beaucoup touchée.
Mère, épouse, elle s'efforce de répondre à toutes les attentes, tout en menant une double vie dans l'ombre d'un mari chirurgien — aimant mais terriblement lisse.
Le sujet est difficile, noir, parfois dérangeant, mais la pièce réussit à ne pas sombrer dans le pathos, ponctuée de silences lourds de sens et d'un humour corrosif (les repas chez les parents ou beaux-parents, les dîners professionnels sont autant de miroirs absurdes d'une société qui cloisonne).
La comédienne principale incarne avec beaucoup d'intensité cette femme au bord de l'effondrement, naviguant entre désir de liberté et autodestruction. J'ai été moins convaincue par le comédien incarnant le mari mais son intervention arrive au bon moment car certaines scènes s'étiraient en longueur.
Une pièce qui dérange et nous interroge sur nos normes, nos silences et nos hypocrisies.
Mère, épouse, elle s'efforce de répondre à toutes les attentes, tout en menant une double vie dans l'ombre d'un mari chirurgien — aimant mais terriblement lisse.
Le sujet est difficile, noir, parfois dérangeant, mais la pièce réussit à ne pas sombrer dans le pathos, ponctuée de silences lourds de sens et d'un humour corrosif (les repas chez les parents ou beaux-parents, les dîners professionnels sont autant de miroirs absurdes d'une société qui cloisonne).
La comédienne principale incarne avec beaucoup d'intensité cette femme au bord de l'effondrement, naviguant entre désir de liberté et autodestruction. J'ai été moins convaincue par le comédien incarnant le mari mais son intervention arrive au bon moment car certaines scènes s'étiraient en longueur.
Une pièce qui dérange et nous interroge sur nos normes, nos silences et nos hypocrisies.
Laure S. a écrit le 25/05/2025 à 09h50






Spectacle et texte percutant porté par une actrice exceptionnelle qui vous fait vivre chaque moment, chaque excès de l'addiction de l'héroïne.
Sublime performance que nous vous recommandons
Sublime performance que nous vous recommandons
Françoise O. a écrit le 11/05/2025 à 12h42






Quelle formidable actrice !!!
On vivait son expérience...
Bravo !!!
On vivait son expérience...
Bravo !!!
Woolf a écrit le 03/05/2025 à 22h39






Très belle interprétation.
Stéphane G. a écrit le 03/05/2025 à 00h59






La plume de Leïla Slimani, subtile, fluide et incisive, trouve ici une adaptation scénique contemporaine d'une grande intensité dramatique. La mise en scène respecte fidèlement la tension intérieure du roman, explorant avec justesse le chaos intime de son héroïne, tiraillée entre ses pulsions et les injonctions sociales. Anne-Élodie Sorlin incarne avec une justesse bouleversante cette femme fatale et mère de famille, prisonnière d'un quotidien qu'elle fuit dans la quête de sensations extrêmes, jusqu'à l'autodestruction. Derrière une façade de normalité, le personnage vacille, cherchant désespérément un sens à sa propre existence. Ce voyage intérieur, aussi sombre que fascinant, est rendu avec force et délicatesse : une performance marquante, un spectacle à la fois remarquablement tourmenté et profondément humain.
Estelle C. a écrit le 28/04/2025 à 16h03
Note =





Belle prestation de la comédienne qui est très touchante.
Thème original très bien abordé !
Thème original très bien abordé !
Antoine G. a écrit le 20/04/2025 à 18h18






Des lèvres qui ne savent pas se défendre du fruit.
Clara M. a écrit le 19/04/2025 à 05h04






Ce spectacle exigeant, très fidèle à la férocité du roman, est magnifié par l'interprétation exceptionnelle d'Anne Elodie Sorlin. Elle y incarne avec une rare élégance et sans une once de vulgarité les affres de l'addiction sexuelle, d'un corps insatiable esclave de ses pulsions, quelles que soient les conséquences.
Le plateau nu et Adèle, dans sa sublime robe noire, qui "veut être une poupée dans le jardin de l'ogre". Magnifique !!!
Le plateau nu et Adèle, dans sa sublime robe noire, qui "veut être une poupée dans le jardin de l'ogre". Magnifique !!!
Éric P a écrit le 06/04/2025 à 09h55






Sans décor, portée par la seule énergie de la comédienne (Anne Elodie Sorlin parfaite dans ce rôle compliqué), la pièce nous plonge dans l'univers torturé de cette femme sous l'emprise de ses démons. Fascinant !!