Un spectacle magnifique mais qui ne devrait pas se donner dans une grande salle où Marie Agnès Gillot était perdue devant son décor. Certes il faut faire des entrées mais pourquoi ne pas jouer plus longtemps dans une salle adaptée à cette chorégraphie au cordeau, très japonisante. Toute l'intimité , les gestes parcimonieux lors de l'introduction sont invisibles depuis le rang R auquel Tp plus invitation nous placent.
Que dire du théâtre du rond-point qui a laissé rentrer dans la salle jusqu'à plus de 20 minutes après le commencement au moins une quinzaine de personnes / merci les lampes torches et le ratage des marches... rien de tel pour vous déconcentrer
Donc fin fond de la salle et irrespect de la part du théâtre... assez pour gâcher un spectacle sublime que j'aurai joie à voir revoir dans de meilleures conditions.

Une chorégraphie à laquelle nous ne sommes pas habitués
Il faut laisser les premières minutes de ce spectacle pour entrer dans cette danse où la talentueuse danseuse étoile, Marie-Agnès Gillot, devient Samouraï.
Étonnant, fascinant et très interessant 🤩
À DÉCOUVRIR !

trop peu de danse
performance

D'abord c'est le visage de Marie-Agnès Gillot qui attend le noir complet pour effectuer sa chorégraphie. Celle-ci m'a semblée un peu mystérieuse mais néanmoins séduisante malgré le thème "Un comas du vivant" auquel s'ajoute la tenue de samouraï et cet entrelas de bambous et cordages qui font travailler l'imagination sous les coups du Sacre du Printemps d'Igor Stravinsky.

L'œuvre (si on peut l'appeler comme cela !) ne permet à aucun moment à M.A. Gillot de déployer son talent. C'est terne, sans émotion, sans intérêt !